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 Construction automobile en algérie

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MessageSujet: La première voiture algérienne sortira en 2011   Construction automobile en algérie I_icon_minitimeDim 16 Jan - 20:45

Le projet de l’usine de montage de véhicules, lancé en mars dernier par le ministère de la Défense nationale et le fonds d’investissement emirati Aabar, a bien avancé.

Le premier véhicule de ce projet, qui a prévu trois sites de production à Tiaret, Aïn Smara et Oued Hamimine, sortirait au courant de l’année 2011. « C’est le seul projet lancé ces dernières années qui se réalise dans de bonnes conditions », a rapporté TSA, citant un responsable du projet.

Certaines des chaînes production seront créées alors que d’autres seront installées dans d’anciennes usines, a-t-on ajouté. Il y a lieu de signaler qu’outre Aabar Investments, cinq firmes allemandes ont pris part dans la réalisation de ce projet qui prévoit de produire 10 000 véhicules par an en Algérie.

Il s’agit de Ferrostaal, Rheinmetall (fabricant de composants), Daimler, Deutz et MTU. Le fond émirati Aabar possèdera 24,5% du capital de la première usine de ce projet, dirigé par MAN Ferrostaal.

Le montant de la participation du fonds au capital de la joint-venture s’élèvera à 4 millions d’euros. Le conseil d’administration de Aabar Investments a récemment donné son accord à la joint-venture l’associant au ministère algérien de la Défense nationale et 5 associés allemands dans des unités de fabrication automobile en Algérie.

A noter que les premières usines pourraient être établies vers la fin de cette année. La production de camions et de voitures pourrait démarrer dans les prochains mois. Il sera question essentiellement de véhicules de la prestigieuse marque Mercedes. Une partie pourrait servir à équiper l’armée algérienne.

A titre de rappel l’accord, qui inclut le gouvernement algérien, est le dernier d’une série d’investissements de Aabar qui avait pris, en mars dernier, 9,5% dans le groupe automobile allemand Daimler et, fin juillet, 32% des parts de Virgin Galactic, une compagnie spécialisée dans le tourisme spatial appartenant à Virgin Group du milliardaire britannique Richard Branson.

Dans le même sens, il convient de rappeler que le journal « El Djeich » ( »L’Armée »), organe de l’Armée nationale populaire (ANP), a révélé que le ministère algérien de la Défense et le groupe émirati Aabar ont déjà signé, en juillet dernier, un accord pour la fabrication de véhicules militaires.

Il convient de rappeler, aussi, que Renault a annoncé récemment son intention d’implanter une usine de montage automobile à Rouiba, dans la banlieue-est d’Alger. La future usine du constructeur automobile français, a-t-on précisé, prévoit l’assemblage de trois modèles de véhicules : la Logan, la Sandero et la Symbol.

Le montant de l’investissement dépassera plusieurs dizaines de millions d’euros, selon la même source. Mais ce dossier reste dans le flou, dans la mesure où plusieurs rounds de négociation sont tombés à l’eau. De nouvelles négociations ont été entamées mais demeurent pour le moment au niveau technique. D’autres constructeurs internationaux ont montré leur intérêt pour le montage de véhicules dans notre pays.

Le dernier en date est celui du Russe Gruppa Gaz qui a exprimé, la semaine dernière, parallèlement la visite du président Medvedev à Alger, son souhait d’ouvrir une usine de montage de bus à gaz en Algérie. Indiquons, enfin, que ce projet lancé par le ministère de la Défense et Aabar a le mérite d’avancer à un rythme pour le moins très rapide.

Du moins, par comparaison à d’autres projets similaires annoncés depuis les années 80. Le projet Fatia qui devait inaugurer la production de la première voiture algérienne en partenariat avec le constructeur italien Fiat, n’a fait, en fin de compte, que faire rêver les Algériens pendant de longues années.

Kader S.
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MessageSujet: l'industrie Renault, pourquoi ça tarde    Construction automobile en algérie I_icon_minitimeSam 14 Mai - 8:55

Le ministre de l'industrie explique: Renault, pourquoi ça tarde
par Oualid Ammar

A ceux qui pensent que de gros dossiers d'investissement industriel entre Paris et Alger peuvent se régler de façon quasi magique, le ministre de l'Industrie Mohamed Benmeradi a plaidé la nécessité de donner du temps au temps tout en fournissant des éléments d'éclairage nouveaux et utiles.

Jeudi, en marge d'une séance plénière à l'APN, il a indiqué que les négociations entre l'Algérie et le constructeur automobile français Renault «avancent très bien», tout en reconnaissant que ce genre de négociations sont généralement «lourdes».

«Rien ne coince avec Renault, les négociations avancent très bien, on ne va pas sûrement conclure un accord en mai, ce genre de négociations nécessitant au moins une année dans tous les pays du monde (...), mais c'est sûr que nous allons arriver à un accord dans les prochains mois», a-t-il déclaré à la presse en marge d'une séance plénière à l'APN. «Nous avons commencé à travailler depuis trois mois. Sur le plan technique, le dossier avance bien, mais sans précipitation», a-t-il affirmé.

Si rien ne coince, pourquoi alors insister là-dessus, relèvent plusieurs observateurs. C'est que de part et d'autre, légitimement, chacun veut faire triompher ses arguments et ses intérêts.

Négociations serrées avec Renault

«Nous espérons arriver à un préaccord en mai. Nos équipes vont ensuite travailler sur un pacte des actionnaires, qui prendra trois ou quatre mois encore», a-t-il avancé au sujet du projet Renault. Ce dernier porte notamment sur la construction en Algérie de voitures de ce constructeur français, avec un taux d'intégration de plus de 50%. »Nous avons mis en contact le constructeur français avec soixante-dix sous-traitants privés nationaux pour faire, entre autres, la câblerie et la sellerie» a révélé M.Benmeradi. «Nous avons demandé à fabriquer les coques des véhicules Renault en Algérie et notre demande a été acceptée», a-t-il dit. »Nous voulons que la plupart de la production du projet Renault soit faite chez nous. Ce qui les (propriétaires de Renault) arrangerait peut-être c'est de faire une usine de montage, mais la valeur ajoutée serait, dans ce cas, minime», a-t-il expliqué. «C'est pour cela que nous avons insisté pour qu'une partie des équipements soit fabriquée en Algérie», Notre objectif est d'arriver à un taux d'intégration d'au moins 50%, c'est-à-dire que 50% de la valeur du véhicule sera produit en Algérie», a précisé M. Benmeradi, en estimant que ce taux d'intégration était «un acquis».

Cependant, les sous-traitants nationaux «manquent de savoir-faire et travaillent sans le respect des normes» et c'est pour cela que «nous sommes en train de les accompagner dans le processus de certification», a-t-il noté. Ces clarifications permettent de mieux comprendre le cours des choses et le long timing pris par les négociations bilatérales. Le projet de l'usine Renault en Algérie, dont le coût est estimé à «pas moins d'un milliard d'euros», doit permettre la création de 20.000 emplois directs et indirects, selon le ministre.

En outre, l'Algérie a négocié la possibilité de construire 150.000 moteurs par an. «Pour le moment, Renault n'a pas accepté», a révélé le ministre en indiquant que pour Renault «son usine ne peut être rentable qu'avec une production supérieure à 300.000 moteurs». «Les négociations sur ce sujet et sur les autres aspects, économique et commercial, continuent tout de même», a précisé le ministre.

C'est dans ce contexte que les petits-enfants de Louis Renault, accusé de collaboration durant la Seconde Guerre mondiale, contestent, aujourd'hui encore (!!), la légalité de la nationalisation-sanction de l'entreprise au sortir de la guerre. Ils réclament des indemnités. L'affaire met Renault une nouvelle fois – après celle de l'espionnage qui s'est achevée par un bide au détriment du staff du super manager Carlos Ghosn – sous les feux de l'actualité. Concrètement, on ne s'attend pas à ce qu'elle ait une incidence sur les activités de Renault. Des syndicalistes français rappellent à ce propos qu'en 1967, «les héritiers ont déjà obtenu des indemnisations».

«Alver», réglé ?

Interrogé par un journaliste sur la possibilité d'aller jusqu'à l'interdiction de l'importation des véhicules pour protéger la production automobile nationale, une fois née, M. Benmeradi a répondu qu'une telle mesure «n'était pas soutenable», sans écarter une «éventuelle protection douanière supplémentaire si cela s'avère utile». Evoquant les autres dossiers de coopération algéro-française, qui devront être examinés lors du 4ème round de négociations prévu les 30 et 31 mai à Alger avec l'envoyé spécial du Président Sarkozy, M. Jean Pierre Raffarin, le ministre a assuré que «sur douze dossiers concernés, huit sont totalement réglés». A titre d'exemple, le dossier de «Alver» (Algérie-verre), qui doit être cédé à un groupe français, «verra la signature d'un accord ces jours-ci», a-t-il dit. Sur ce dossier, des sources françaises indiquent qu'il a été réglé. Mais personne, des deux côtés, ne donne de précisions sur les conditions de ce règlement. «Alver», basé à Oran, a été cédé, en principe, à Saint Gobain. Le collectif algérien des travailleurs aurait contesté le montant de la cession, jugé trop bas, et occupé les lieux, depuis de nombreux mois ! M.Benmeradi n'a pas donné de précisions sur ce dossier, laissant peut-être le soin à son vis-à-vis français, M.Raffarin, de le faire à la fin de ce mois à Alger.

Sur la question de savoir si la règle des 51-49% relative à l'investissement étranger entravait les négociations avec Renault ou avec d'autres investisseurs, le ministre a affirmé que «le contraire était vrai». «Nous avons réussi à conclure des accords importants dans le domaine de la mécanique avec des firmes allemandes comme Mercedes ou Liebherr, ce qui a encouragé d'autres entreprises européennes à accepter sereinement cette règle
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MessageSujet: Construction automobile en algérie   Construction automobile en algérie I_icon_minitimeJeu 23 Juin - 12:31

Renault, volkswagen et les autres..
.
Citation :
Les négociations avec le constructeur automobile français Renault avancent bien, mais il reste un certain nombre de questions sur lesquelles les deux parties ne sont pas encore tombées tout à fait d’accord, a indiqué, hier, le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, Mohamed Benmeradi.

Une délégation algérienne se trouve actuellement en Allemagne «pour discuter avec le constructeur automobile Volkswagen», a révélé hier le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, M. Mohammed Benmeradi. Evoquant les discussions avec le constructeur français Renault pour la réalisation en Algérie d’une usine de fabrication de 150.000 véhicules par an, le ministre a indiqué qu’«elles étaient loin d’être terminées». «Ce sont des négociations longues qui avancent (...) mais cela ne veut pas dire que nous sommes arrivés à un accord», a-t-il dit. Parmi les questions qui restent posées, il ministre a évoqué la commercialisation des véhicules en Algérie. Selon lui, la partie algérienne propose de réaliser une entreprise qui produit et commercialise en même temps, alors que Renault veut confier la vente à son réseau en Algérie. Il a, par ailleurs, annoncé qu’une importante délégation d’hommes d’affaires sud-coréens représentant différentes filières industrielles, dont l’automobile, est attendue la semaine prochaine à Alger.
«Nous sommes en train de discuter avec les responsables de Renault. L’évaluation de l’économie nationale est favorable à un constructeur français», a-t-il dit, hier, sur les ondes de la chaîne III. «Nous avons eu cinq ou six rounds de négociations. Nous continuerons à en avoir trois ou quatre avant de dire concrètement que nous avons une usine de fabrication de véhicules Renault en Algérie», a-t-il affirmé.
A propos des points sur lesquels les deux parties ne se sont pas encore mises d’accord, M. Benmeradi a précisé qu’il s’agit d’aspects économiques, commerciaux, technologiques et juridiques. Selon lui, un travail de fourmi est en train de se faire sur ce point pour identifier ce qui peut être fait pour encourager et rendre véritablement utile, rentable et profitable ce projet pour les deux parties. Le ministre a rappelé que l’Algérie vise un objectif de 50% d’intégration au bout de cinq ans dans l’aspect technologique. Côté commercialisation, il a indiqué que la partie algérienne propose de produire et de vendre alors que Renault considère, quant à elle, qu’elle a déjà Renault Algérie capable d’assurer la vente. «Donc, nous sommes loin d’avoir terminé. Ce sont des négociations longues qui avancent sur les différents aspects. Je pense que nous arriverons à trouver des solutions à ces questions», a conclu M. Benmeradi.
A propos du constructeur automobile Volkswagen, M. Benmeradi a révélé qu’une délégation algérienne se trouve actuellement en Allemagne pour discuter de ce projet.
LES INVESTISSEURS ÉTRANGERS ADHÈRENT AU CODE DES MARCHÉS PUBLICS
Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement estime que sur le terrain, il y a une adhésion internationale au code des marchés publics et la loi des 51 et 49% régissant l’investissement étranger. «Nous avons parlé de négociations, mais aujourd’hui il y a plus que cela, puisque nous avons conclu des partenariats avec des groupes internationaux à l’instar du groupe Mercedes, Daimler sont rentrés en partenariats avec la Société nationale des véhicules industriels et le fonds national pour la création d’une société de fabrication de 15.000 camions sur le site de Rouïba. D’autres projets de partenariat sont en cours de concrétisation à Constantine, notamment dans le machinisme agricole», a encore annoncé le ministre. Selon lui, l’objectif de la nouvelle politique nationale est d’assurer une diversification de l’économie.
«Il faut également travailler pour substituer les importations qui sont très importantes en donnant toutes les chances à toutes les entreprises dans toutes les filières la possibilité de redémarrer et de contribuer dans la croissance», a-t-il dit.A propos de la levée de l’interdiction de l’importation des produits d’habillement provenant de la friperie qui remet sur le tapis le débat sur l’avenir de l’industrie du textile en Algérie, le ministre de l’Industrie a souligné que le gouvernement est contre cette mesure. Il a aussi noté que c’est le Parlement qui a pris cette décision
http://www.horizons-dz.com/economie/23367.html
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MessageSujet: Industrie automobile: Les sous-traitants veulent être de la partie    Construction automobile en algérie I_icon_minitimeMar 28 Juin - 10:57

par Salim L.
Citation :
d'intégration.

C'est ce qu'a affirmé Mustapha Bekhaled, directeur de l'Union professionnelle de l'industrie automobile et mécanique (UPIAM). Ce dernier, qui s'exprimait sur les ondes de la radio Chaîne 3, a plaidé en faveur de mesures incitatives tels les abattements fiscaux et les réductions des tarifs douaniers au profit des entreprises algériennes de la sous-traitance automobile. Dans ce sens, il est à souligner que le gouvernement place la sous-traitance comme un axe stratégique, notamment dans le secteur industriel.

Le ministère de l'Industrie escompte arriver à un niveau d'intégration de 50% sur cinq ans à travers le projet d'implantation d'unités de production automobile avec Renault, Volkswagen et l'unité de fabrication de véhicules industriels de marque Mercedes-Benz, en association avec le groupe allemand Daimler AG.

M. Bekhaled soutient que «Si l'on veut promouvoir l'industrie automobile en Algérie, il faut d'abord établir un état des lieux exact et préparer l'intégration nationale dans la fabrication de tous les composants». «Il y a, dit-il, un travail à faire au niveau des centres de formation professionnelle et les grandes écoles». «Pour permettre un essor de l'intégration, il faut un transfert technologique qu'il faut absolument s'approprier», a soutenu M. Bekhaled. «Le transfert technologique ne peut pas se faire s'il n'y a pas des hommes capables d'adapter cette technologie», a-t-il estimé, expliquant que la mission de l'intégration échoit aux petites et moyennes industries (PMI).

Pour l'invité de la Chaîne 3, il est indispensable d'opter pour des partenariats gagnant-gagnant. «Il est indispensable de créer les conditions d'émergence d'une industrie privée dans le secteur automobile. Il y a un potentiel, mais nos entreprises sont encore frileuses car il y a un manque de confiance qui dure depuis trente ans», indique-t-il. M. Bekhaled se dit favorable aux projets de création de pôles de compétitivité prévus à Rouiba, Tiaret et à Constantine. «Nous escomptons associer tous les partenaires industriels et les grandes écoles. Il s'agit d'approfondir la coopération pour mettre en confiance les opérateurs. Il y a des métiers et des objectifs communs», dit-il. «Les pôles de compétitivité favorisent la mutualisation des efforts et une rapidité du cycle de décision. On gagne en terme de coût et en qualité», soutient-il. Selon lui, le rétablissement de la confiance permettra l'application effective de la charte de partenariat public-privé conclue en 2009. M. Bekhaled se dit favorable à la relance de l'Union maghrébine de l'industrie automobile. A l'instar de tout le Maghreb, l'Algérie dispose d'un grand marché automobile. Notre pays a importé 88.000 véhicules, durant le premier trimestre 2011, contre 63.000 véhicules durant la même période de 2010. Les besoins annuels du marché national sont évalués à environ 300.000 véhicules. L'Algérie constitue le deuxième marché en Afrique après l'Afrique du sud. D'où l'intérêt du gouvernement d'encourager la branche mécanique. Un financement de 21 milliards de dinars a été mobilisé pour la mise à niveau de cette branche jugée stratégique.

Sur un autre volet, M. Bekhaled a tenu à mettre en garde contre le fléau de la contrefaçon. «Dans le secteur des batteries automobiles par exemple, il faut réviser le dispositif, qui est déjà assez compliqué, pour permettre aux producteurs d'avoir une meilleure vision et de prémunir le pays contre les importations de produits à la qualité douteuse», explique-t-il. «Les batteries importées peuvent être issues de la contrefaçon ou peuvent ne pas être aux normes de qualité requises», poursuit-il. Et d'ajouter: «Il faut absolument effectuer des vérifications et des tests pour les composants importés».
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5154896
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