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  Otages algériens au Mali

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MessageSujet: Otages algériens au Mali     Otages algériens au Mali  I_icon_minitimeVen 11 Mai - 16:41

Le MUJAO affirme que la vie des otages «sera en grand danger»

Un ultimatum de moins de 30 jours lancé à Alger

Citation :
Le gouvernement algérien a moins de trente jours pour satisfaire les revendications du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) sinon la vie des sept diplomates pris en otages à Gao au nord du Mali, le 5 avril dernier, «sera en grand danger». L’ultimatum donné par le Mujao à Alger a été annoncé hier par l’AFP, qui cite un texte écrit du porte-parole du mouvement, Adnan Abu Walid Sahraoui. Le Mujao, une dissidence d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), avait affirmé le 8 avril dernier, être l’auteur de l’enlèvement du consul d’Algérie et de six de ses collaborateurs. Pour libérer les otages, le Mujao a réclamé, le 2 mai dernier, la

libération de prisonniers détenus sur le territoire algérien ainsi qu’une rançon de 15 millions d’euros. Aucune réaction officielle n’a

été rendue publique par Alger. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Amar Belani, s’est contenté de rappeler que la discrétion et la confidentialité dans ce genre d’affaire sont gages d’efficacité.«Nous continuons à travailler de manière quasi quotidienne au sein de la cellule de crise et il n’y aura pas de déclarations jusqu’à nouvel ordre», avait-il dit. Selon le Mujao, Alger a jusque-là refusé de satisfaire à ses revendications. «Les otages sont encore vivants. Le gouvernement algérien connaît nos revendications (...) Il est encore temps de se parler. Après, il sera trop tard», poursuit le porte-parole du Mujao, dans son court message d’hier. Dans celui du 2 mai dernier, le Mujao avait menacé l’Algérie d’un attentat si les revendications de son mouvement n’étaient pas satisfaites : «Vraiment, nous pensons attaquer l’Algérie, comme l’attentat de Tamanrasset qui a été exécuté par deux jeunes, un Sahraoui et un Malien d’origine arabe». Ainsi donc, le Mujao exprime des revendications non précises -puisque aucune information sur le nombre ou l’identité des prisonniers à libérer n’a été communiquée à Alger- et change de menaces au bout d’une semaine. Le Mujao connaît parfaitement la position immuable d’Alger en ce qui concerne les négociations avec les groupes terroristes et le payement de rançon. Ce qui laisse supposer que le but de l’enlèvement des diplomates algériens ne vise pas la libération de détenus extrémistes et encore moins une rançon. Il faut rappeler que le Mujao avait annoncé, avant la demande de rançon, qu’il avait donné son accord au groupe islamiste d’Ansar Dine (dirigé par le chef touareg malien Iyad Ag Ghaly) pour la libération des otages algériens sans évoquer une éventuelle contrepartie à leur libération. Le revirement du Mujao est curieusement intervenu à la suite d’une détérioration de la situation sécuritaire à Bamako avec la tentative de contre-putsch, opérée par les bérets rouges, les loyalistes du président déchu Amadou Toumani Touré (ATT). La junte militaire qui a annoncé l’échec du contre-putsh, n’a pas manqué de relever la présence d’étrangers parmi les loyalistes d’ATT. En fait, le «contre-coup d’Etat» des fidèles à ATT a lieu à peine trois jours après la décision des chefs d’Etat de la Cédéao de l’envoi d’une force régionale et le rejet du capitaine Sanogo, le chef de la junte militaire, de la présence de cette force. Hier, encore, les négociations entre les émissaires de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (Cédéao) et l’ex-junte se poursuivaient. Mais le capitaine Sanogo continue de refuser la présence d’une force de la Cédéao et il n’est pas le seul. Les Touareg, qu’ils soient membres du Mnla, du Fnla ou encore ceux du Flaa -le Front de libération de l’Aïr et de l’Azawad, proclamé par des combattants issus de la résistance Touareg et Toubou au Niger- et les Touareg algériens ont annoncé leur décision de s’allier pour combattre toute intervention de la Cédéao au nord Mali. Alger, consciente du risque d’une «afghanisation» du Mali a lancé un appel à la communauté internationale pour appuyer les efforts des autorités maliennes d’aller vers une solution politique et pacifique et qui sera la résultante d’un dialogue inclusif entre maliens et notamment entre le Gouvernement et la rébellion touarègue. Mais l’appel de l’Algérie semble être ignoré à dessein, à savoir créer une situation inextricable au nord Mali qui va légitimer l’intervention étrangère, tant souhaitée par le gouvernement malien de l’époque d’ATT pour mater la rébellion Touareg sous couvert du risque terroriste dans la région sahélo-saharienne. Le Mouvement national pour la libération de l’Azawad (Mnla) cherchent à faire reconnaître les revendications légitimes des Touareg et s’est déclaré prêt, si un accord est signé avec le gouvernement malien, à combattre tous les groupes extrémistes dans le nord Mali. Dans ce scénario, le Mnla passerait du côté de l’armée malienne pour combattre les islamistes d’Aqmi et d’Ansar Eddine. Cela permettra au Mali d’éviter l’intervention étrangère sur son sol. Alors le choix est-il si difficile que cela : Négocier ou accepter l’intervention étrangère ? Il va falloir choisir
http://www.latribune-online.com/evenement/67400.html
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MessageSujet: Re: Otages algériens au Mali     Otages algériens au Mali  I_icon_minitimeLun 3 Sep - 17:37

Alger veut vérifier l'information : Le Mujao dit avoir assassiné l'otage algérien Tahar Touati

Citation :
Les terroristes djihadistes du Mujao, qui contrôlent la ville de Gao et viennent même de s'étendre en direction du sud du Mali, ont annoncé, dans un communiqué rendu public samedi soir, avoir exécuté le vice-consul algérien, Tahar Touati.

Le ministère algérien des Affaires étrangères a exprimé sa «surprise» à l'égard des cette annonce car les «contacts avec les ravisseurs n'étaient pas rompus».

Le communiqué du ministère des Affaires étrangères semblait, hier, cultiver un espoir ténu que la nouvelle de l'exécution de Tahar Touati, annoncée dans un communiqué du Mujao signé par Abou Al Walid Sahraoui et publié par le site mauritanien Sahara Media, ne soit qu'une manœuvre ou un bluff. Mais les observateurs étaient plutôt pessimistes sur le sort de l'otage sur qui pesait ces derniers jours une lourde menace. Le Mujao avait annoncé avoir reporté l'ultimatum de trois jours à la «demande d'Aqmi», pour que les autorités algériennes acceptent leurs exigences qui se focalisent principalement sur la libération de Necib Tayeb, alias Abderrahmane Abou Ishak Essoufi, un des proches d'Abdelmalek Droukdel et président de la «commission juridique». Il avait été arrêté, le 15 août dernier, avec deux autres membres d'Aqmi à un barrage à Berriane alors qu'il se dirigeait en «mission spéciale» vers le Sahel. Pour certains observateurs, les trois jours de sursis à l'exécution de Tahar Touati étaient purement médiatiques avec pour seul but de montrer «l'insensibilité» des autorités algériennes au sort des otages. Le Mujao avait fait passer une vidéo d'une minute de Tahar Touati qui semblait lire un texte préparé par ses ravisseurs dans lequel il lançait un appel au peuple algérien de le soutenir et d'amener les autorités à lui sauver la vie. Le message comportait une critique contre «ceux qui n'accordent aucun intérêt à nos vies, par leurs décisions fausses et irresponsables, courant derrière des intérêts politiques illusoires». Il soulignait à l'encontre de la politique officielle de l'Algérie, que des gouvernements étrangers n'ont pas «hésité à payer des rançons ou à échanger des détenus contre la libération des leurs». Le communiqué d'Abou Al Walid Sahraoui annonçant l'exécution, publié par le site mauritanien Sahara Media, tente d'exploiter le même filon de la culpabilisation des autorités et de la politique officielle de non-paiement de rançon et de non-libération de détenus.

LE «PRESIDENT ET SES GENERAUX»

Sahraoui, qui revendique l'assassinat de Tahar Touati, affirme, selon le communiqué, que les autorités algériennes «doivent assumer les conséquences de leur entêtement et des décisions erronées et irresponsables de leur président et des ses généraux». Le même communiqué de l'organisation terroriste laisse entendre que la partie algérienne a négocié un accord avant de se rétracter «à la dernière minute» dans sa mise en œuvre. La pression sur les autorités algériennes et les menaces contre les 4 otages toujours détenus (ils font partie d'un groupe de 7 fonctionnaires enlevés le 5 avril, trois ont été libérés vers le 11 juillet) sont devenues plus fortes après l'arrestation d'Abderrahmane Abou Ishak Essoufi. La situation des otages algériens est difficile car les autorités algériennes défendent au plan international une position de non-paiement de rançons et de refus de libérer les prisonniers. Selon les responsables algériens, toute autre attitude ne fait qu'encourager l'industrie de l'enlèvement au Sahel et renforcer financièrement les groupes djihadistes.

UN ESPOIR TENU

Dans ce contexte, le communiqué du ministère des Affaires étrangères tente de cultiver, faiblement, l'idée que l'inéluctable n'est pas arrivé pour Tahar Touati. Prudent, le communiqué ne dément pas formellement l'information sur l'exécution du fonctionnaire consulaire algérien Tahar Touati et indique qu'elle «fait actuellement l'objet de vérifications nécessaires pour s'assurer de son authenticité». Le ministère indique que les familles des fonctionnaires consulaires algériens retenus en otages dans le nord du Mali «avaient été reçues samedi matin par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères qui leur a rappelé en particulier que les contacts avec les ravisseurs n'étaient pas rompus». Aussi, poursuit le communiqué, l'annonce de l'exécution du fonctionnaire consulaire algérien «ne peut par conséquent que susciter la surprise et justifier les démarches engagées en vue de confirmer la véracité de l'information diffusée samedi en fin de journée». Le communiqué officiel, malgré sa tournure, peut difficilement passer pour une infirmation de la nouvelle. Il n'incite guère à l'optimisme. Aussi bien pour Touati que pour les trois autres otages.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5172532
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Otages algériens au Mali

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