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 Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)

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MessageSujet: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeJeu 3 Fév - 19:46

le 03.02.11 | 16h11
La levée de l'état d'urgence interviendra "dans un très proche avenir", a indiqué jeudi le chef de l'Etat, Abdelaziz Bouteflika qui a présidé à Alger un Conseil des Ministres. "Aussi, pour mettre un terme à toute polémique infondée sur cette question, je charge le gouvernement à s'atteler, sans délais, à l'élaboration de textes appropriés qui permettront à l'Etat de poursuivre la lutte antiterroriste jusqu'à son aboutissement, avec la même efficacité et toujours dans le cadre de la loi", rapporte une dépêche de l'APS.

Une fois n'est pas coutume, Abdelaziz Bouteflika est sorti de son silence pour intervenir sur une question épineuse qui a défrayé la chronique durant toutes ces dernières années.

Et après avoir rappelé que l'état d'urgence a été instauré "pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c'est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale", Abdelaziz Bouteflika a promis sa levée "dans un prochain avenir" sans préciser pour autant une quelconque date.

Toutefois, l'état d'urgence "n'a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l'avis même des observateurs qui les ont suivies", relève Bouteflika à ce sujet.

Abdelaziz Bouteflika n'a pas omis d'intervenir également au sujet de l'organisation des marches. Sur ce chapitre, il a fait savoir que, hormis la capitale, "rien ne l'entrave dans toutes les autres wilayas, pour autant que les demandes et les conditions exigées par la loi soient réunies".

"Certes, la capitale fait exception dans ce domaine pour des raisons d'ordre public bien connues, et certainement pas pour y empêcher une quelconque expression", précise-t-il encore.

Cependant, "Alger compte plusieurs salles publiques de capacités diverses, qui sont gracieusement disponibles pour tout parti ou association en faisant légalement la demande, en vue d'y faire entendre son point de vue", assure en denier lieu Abdelaziz Bouteflika.





Abderrahmane Semmar
http://www.elwatan.com/une/bouteflika-promet-de-lever-l-etat-d-urgence-03-02-2011-110078_108.php


Dernière édition par air-force le Jeu 24 Fév - 20:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Bouteflika va lever l’état d’urgence   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeVen 4 Fév - 11:48

le 04.02.11 | 03h00
Après un très long silence, le président Abdelaziz Bouteflika a annoncé hier que la levée de l’état d’urgence, en vigueur depuis 1992, interviendra «dans un très proche avenir», mais il rappelle que les marches sont toujours interdites à Alger.

Un mur de la peur psychologique vient de tomber, mais «il ne s’agit que d’une première victoire», comme le souligne le député Ali Brahmi. «Pour mettre un terme à toute polémique infondée sur cette question, je charge le gouvernement à s’atteler, sans délais, à l’élaboration de textes appropriés qui permettront à l’Etat de poursuivre la lutte antiterroriste jusqu’à son aboutissement, avec la même efficacité et toujours dans le cadre de la loi», a déclaré, selon l’APS, le chef de l’Etat lors d’un Conseil des ministres. Notons que le Président défend la légalité de l’état d’urgence jusqu’au bout en évoquant la «polémique infondée», alors qu’il s’agit d’une procédure jugée illégale et même anticonstitutionnelle.

Selon le Président, l’état d’urgence a été instauré «pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c’est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale», l’état d’urgence «n’a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l’avis même des observateurs qui les ont suivies». Le Président a précisé, alors que les ONG ont annoncé leur intention d’organiser une marche le 12 février, que s’agissant de l’organisation des marches, et «hormis la wilaya d’Alger, rien ne l’entrave dans toutes les autres wilayas, pour autant que les demandes et les conditions exigées par la loi soient réunies». «Certes, la capitale fait exception dans ce domaine pour des raisons d’ordre public bien connues, et certainement pas pour y empêcher une quelconque expression», a déclaré le chef de l’Etat sans préciser ces fameuses «raisons d’ordre public».

Magnanime, le Président Bouteflika a invité la société civile à s’exprimer… dans les espaces clos : «Au demeurant, Alger compte plusieurs salles publiques de capacités diverses, qui sont gracieusement disponibles pour tout parti ou association en faisant légalement la demande, en vue d’y faire entendre son point de vue», a rappelé le président de la République. Plusieurs rencontres – autour des droits des femmes, de la Charte pour la paix et la réconciliation ou autres – ont été interdites par la wilaya d’Alger. Sans justificatif. Notons enfin l’incroyable désaveu au vice-Premier ministre, Yazid Zerhouni, qui, interpellé mercredi au sujet de l’éventuelle levée de l’état d’urgence, a rétorqué que «ce n’est pas actuellement à l’étude» !

Adlène Meddi
http://www.elwatan.com/
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MessageSujet: Le Président Bouteflika annonce d’importantes décisions   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeSam 5 Fév - 16:27

Levée de l’état d’urgence dans un très proche avenir : Washington salue la décision de l’Algérie,
Le Conseil des ministres, qui s'est réuni jeudi sous la présidence du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a rendu publique hier la deuxième partie de son communiqué, dont voici le texte intégral: "Après avoir débattu des événements survenus dans notre pays au début du mois de janvier 2011, et pris en conséquence, les décisions requises, le Conseil des ministres a, également, lors de sa séance du 3 février 2011, poursuivi ses travaux par l'examen et l'approbation d'un projet de loi organique fixant l'organisation, le fonctionnement et la compétence de la Cour suprême.
Ce texte a pour objet de permettre la mise en œuvre des dispositions de la Constitution qui stipule que l'organisation, le fonctionnement et les attributions de la Cour suprême sont édictés par loi organique.
A ce titre, le projet de loi organique examiné par le Conseil vise à codifier clairement une pratique déjà en vigueur, depuis la mise en place dans notre pays de deux ordres de juridictions, l'un, ordinaire, avec à son sommet la Cour suprême, et l'autre administratif, coiffé par le Conseil d'Etat.
Le texte dont l'objet précise que la Cour suprême juge de droit, veille au respect de la loi à travers les ordonnances, jugements et arrêts rendus par les tribunaux et les cours d'appels, ainsi qu'au respect des règles de procédure.
La Cour suprême peut aussi, exceptionnellement et dans les cas déterminés par la loi, être juge au fond. Outre les dispositions relatives à l'organisation de cette juridiction, ce projet de loi conforte son indépendance en lui conférant l'autonomie financière et de gestion.
Il est à rappeler que, dans le cadre de la réforme de la justice en cours depuis une décennie, Monsieur le Président de la République, président du Conseil supérieur de la magistrature, a veillé à ce que, au regard de la solennité de leur mission, la Cour suprême et les magistrats conseillers qui y exercent disposent de toutes les conditions et moyens requis pour un bon accomplissement de leurs tâches.
De son côté, la Cour suprême a initié plusieurs mesures qui, accompagnant les révisions des codes de procédures judiciaires, ont réduit sensiblement les délais du prononcé de ses arrêts.
Le Conseil des ministres a, ensuite, examiné et approuvé un projet de modification de la loi organique relative aux compétences, à l'organisation et au fonctionnement du Conseil d'Etat.
En matière d'attributions du Conseil d'Etat, ce projet de texte stipule que celui-ci connaît en premier et dernier ressort des recours en annulation, en interprétation ou en appréciation de la légalité, introduits contre les actes administratifs émanant des autorités administratives, des institutions et des organisations professionnelles nationales.
Ce projet de loi organique énonce, par ailleurs, la compétence du conseil pour statuer en appel contre les jugements et ordonnances rendus par les juridictions administratives, ainsi que pour statuer sur les pourvois en cassation contre les jugements rendus par les juridictions administratives en dernier ressort.
Outre la précision des attributions judiciaires du Conseil d'Etat dans le domaine administratif, le projet de loi organique affine les procédures relatives aux avis qu'il prononce sur les projets de lois élaborés par le gouvernement, avant que ces derniers ne soient soumis au Conseil des ministres.
Cette proposition de révision de la loi organique relative au Conseil d'Etat va conforter l'ordre juridictionnel administratif marqué par la mise en place progressive des tribunaux administratifs.
Le Conseil des ministres a, également, examiné et approuvé quatre (4) projets de décrets présidentiels relatifs à la recherche et à l'exploitation des hydrocarbures.
Le premier porte approbation de l'avenant n° 4 au contrat du 10 Juillet 2002, conclu entre la Sonatrach et ses trois partenaires "Repsol exploration Argelia SA", "RWE-DEA AG" et "Edison International" pour la recherche, l'appréciation et l'exploitation d'hydrocarbures sur le périmètre dénommé Reggane Nord" (blocs: 351 c et 352 c).
l Le deuxième projet de décret présidentiel porte approbation de six contrats pour la recherche et l'exploitation d'hydrocarbures, conclus le 30 Juin 2010, entre l'Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT) et Sonatrach.
l Le troisième porte approbation de l'avenant n° 2 au contrat du 23 avril 2005, conclu entre la Sonatrach et les sociétés "Gulf Keystone Petroleum Limited" et "BG North Sea Holdings Limited" pour la recherche, l'appréciation, le développement et l'exploitation d'hydrocarbures sur le périmètre dénommé "Hassi Bahamou" (blocs: 317B, 322B3, 347B, 348 et 349B).
l Le quatrième porte, quant à lui, approbation de l'avenant n°1 au contrat du 20 Juillet 2009 entre l'Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT) et la Sonatrach. Cet avenant associera, à titre minoritaire, la société "Eni Algeria Exploration BV" , à l'exploitation des hydrocarbures sur le périmètre dénommé "Rhourde Messaoud Nord".
Le Conseil des ministres a examiné et approuvé un projet de décret présidentiel portant création d'un groupe minier public dénommé "Manadjim El Djazair".
Ce groupe industriel sera doté d'un capital social détenu par l'Etat, imprescriptible et inaliénable, de l'ordre de 5 milliards dinars, et se verra transférer les actifs des cinq entreprises publiques activant actuellement dans le domaine minier.
Le groupe minier "Manadjim El Djazair" est appelé à contribuer fortement à l'intensification de la prospection et de l'exploitation des richesses minières du pays, ce qui ne manquera pas de créer des emplois nombreux et d'augmenter les exportations hors hydrocarbures.
Cette approche dans laquelle les investissements nationaux seront majoritaires permettra d'associer, également, les partenaires étrangers disposés au transfert de technologie et de connaissances.
Le Conseil des ministres a, en outre, examiné et approuvé deux projets de marché en gré à gré simple. Le premier est relatif à la réalisation du siège de l'Institut diplomatique et des relations internationales auprès du Ministère des Affaires étrangères.
Ce projet d'un coût global de 700 millions de dinars sera confié à deux entreprises ayant déjà la charge de la construction du siège du ministère des Affaires étrangères en voie d'achèvement.
Le second dossier concerne deux marchés de construction de lignes ferroviaires.
Ainsi, un contrat de près de 45 milliards dinars relatif à la construction d'une ligne ferroviaire entre Boughezoul et M'sila sur 151 kilomètres, sera conclu avec un groupement comprenant deux entreprises publiques pour plus de 75% du marché, associé à deux entreprises mixtes. La maîtrise d'ouvrage sera contractée avec trois bureaux d'études nationaux.
L'autre contrat de plus de 44 milliards dinars concerne la construction de la ligne ferroviaire entre Boughezoul et Tissemsilt sur 139 kilomètres. Il a été confié à un collectif de cinq entreprises nationales pour près de 80% du contrat, associées à une entreprises mixte. La maîtrise d'ouvrage sera prise en charge par trois bureaux d'études nationaux.
L'attribution de ces contrats de travaux ferroviaires par la voie légale du gré à gré découle des directives du Président de la République qui a ordonné la mise à niveau des entreprises locales disposant de parts de marchés et leur relance par des plans de charge sur les contrats publics.
Le Conseil des Ministres a, également, examiné une proposition de programme de développement des énergies nouvelles et renouvelables et de renforcement de l'efficacité énergétique présentée par M. le ministre de l'Energie et des Mines.
Ce projet de programme fait suite aux instructions du Chef de l'Etat lors de l'examen en séance restreinte, en août dernier, du dossier du secteur de l'Energie, dans le cadre d'une planification des besoins du pays en énergie à moyen et long termes et des évolutions internationales liées à la protection de l'environnement.
Le développement de la production d'électricité par le biais des énergies renouvelables sera conduit en trois étapes successives.
Ainsi, les années 2011 à 2013 seront consacrées à la consolidation des données, à travers des études et des projets pilotes destinés à tester les différentes technologies à mettre en œuvre. Les années 2014 et 2015 connaîtront, quant à elles, le lancement substantiel des investissements requis qui seront accrus afin d'atteindre, à l'horizon 2030, la production de 22.000 mégawats d'électricité par la voie d'énergies nouvelles et renouvelables, soit plus du double des capacités actuelles par le recours au gaz naturel.
En parallèle, le développement de l'efficacité énergétique s'appuiera sur diverses méthodes, dont l'isolation thermique des habitations, le chauffe-eau solaire, la généralisation de l'éclairage à moindre consommation d'électricité, la réduction de la consommation énergétique dans le secteur industriel, avec des incitations publiques, ainsi que le développement de la motorisation des véhicules collectifs et particuliers par l'énergie gazière. Cette démarche, nécessitant d'importants investissements, permettra d'économiser près de 600 milliards de mètres cube de gaz sur 25 années. La moitié de ce volume sera ainsi conservée pour les prochaines décennies, alors que l'autre moitié exportée générera pour le pays des recettes minimales supplémentaires estimées à 200 milliards de dollars au cours des 25 prochaines années.
La politique énergétique nouvelle sera accompagnée du développement d'une industrie de sous-traitances locales dans les énergies nouvelles et renouvelables, à même de générer durant la décennie, un minimum de 100.000 emplois à haute valeur ajoutée.
A l'issue du débat sur ce dossier, le Président Abdelaziz Bouteflika a déclaré que l'Algérie mettra en œuvre son programme national d'énergies nouvelles et renouvelables ainsi que la politique d'économie de l'énergie. Au regard du caractère nouveau des technologies à mettre en œuvre, le chef de l'Etat a insisté pour que la période 2011 à 2013 soit pleinement consacrée à la maîtrise des connaissances et des technologies liées à ce domaine encore nouveau, y compris au niveau mondial.
A ce titre, il a instruit le gouvernement de veiller à promouvoir une coopération avec tous les partenaires étrangers publics et privés disposés à partager avec notre pays leurs connaissances et à œuvrer pour des associations fondées sur un partage équitable des bénéfices.
De même, le gouvernement a été chargé d'encourager, avec les incitations les plus avantageuses du code des investissements, des partenariats avec les groupes industriels internationaux spécialisés pour la production en Algérie des équipements et des technologies nécessaires aux énergies nouvelles et renouvelables.
Le Président de la République a, également, ordonné au gouvernement de mobiliser, sur la période triennale, le montant de 2 milliards DA requis pour la réalisation des études ainsi qu'une enveloppe de 12 milliards dinars nécessaire à la subvention de l'électricité qui sera produite par les réalisations expérimentales d'énergies nouvelles et renouvelables.
En outre, le gouvernement est chargé de faciliter la mobilisation de plus de 50 milliards dinars de crédits bancaires à des conditions avantageuses, pour permettre la réalisation des unités expérimentales durant les trois années.
Par ailleurs, le chef de l'Etat a donné son accord pour la création d'un Commissariat des énergies nouvelles en ordonnant que des dispositions soient prises pour assurer la fédération des compétences et des connaissances nationales disponibles dans les centres de recherches scientifiques en rapport avec ce dossier. Le Conseil des ministres a aussi décidé d'introduire dans le prochain projet de loi de finances, l'allocation de 1% de la fiscalité tirée des hydrocarbures au développement des énergies nouvelles et renouvelables et à la promotion d'une utilisation plus efficace des énergies d'origine conventionnelle.
"Une telle allocation de ressources reflète notre volonté de faire en sorte que les hydrocarbures dont dispose le pays puissent d'ores et déjà, accompagner les investissements nécessaires au développement des énergies nouvelles et renouvelables au bénéfice des générations futures", a précisé le Président Abdelaziz Bouteflika. Le Conseil des ministres a entendu et débattu une communication du ministre des Finances sur un projet de décret exécutif portant approbation du règlement intérieur type des commissions des marchés publics. Ce texte, subséquent au décret présidentiel d'octobre 2010 portant révision de la réglementation applicable aux marchés publics, introduit notamment des dispositions nouvelles à même de diligenter les travaux des Commissions des marchés publics, parmi lesquelles on relèvera :
- la permanisation des membres des commissions nationales des marchés,
- la suppression du bureau de ces mêmes commissions pour alléger les délais de traitement des dossiers
- la désignation de suppléants aux membres des commissions, y compris leurs présidents et rapporteurs, pour mettre un terme aux retards découlant de toute absence des concernés,
- la clarification des mandats des commissions de marchés publics pour veiller au respect des procédures et à leur transparence dans les appels d'offres et dépouillements des offres, le choix technique des soumissionnaires relevant de la responsabilité légale des maîtres d'ouvrages, ainsi que la limitation à 15 jours du délai accordé à l'examen des recours.
Relevant que ces dispositions nouvelles viennent opportunément réduire les délais de traitement des dossiers par les commissions des marchés publics, le Président Abdelaziz Bouteflika a insisté sur la nécessité pour les instances compétentes de rendre leurs décisions sur les marchés publics dans la transparence absolue, et ordonné au gouvernement de veiller, au niveau des différents secteurs, à dynamiser davantage la conduite de l'important programme quinquennal d'investissements publics en cours.
Le Conseil des ministres a, ensuite, entendu et débattu une communication sur le Conseil national de partenariat en tant que mécanisme de consolidation de la politique nationale de formation et d'enseignement professionnels, en adéquation avec le marché national de l'emploi.
La mise en place de ce Conseil fait suite à des directives présidentielles en vue d'une harmonisation constante entre les besoins du marché national de l'emploi, et le produit de l'enseignement et de la formation professionnels.
Cette instance qui vient d'élire à sa tête un dirigeant d'entreprise, regroupe, outre les délégués de l'enseignement et de la formation professionnels, des représentants de l'ensemble des employeurs publics et privés, des chambres et associations patronales, ainsi que des organismes de promotion de l'emploi et du développement des investissements. Elle aura, également, des démembrements locaux.
L'examen de ce dossier a débouché sur l'instruction donnée par le Président de la République au Gouvernement à l'effet d'approfondir, à tous les niveaux, l'évaluation et les adaptions requises au système national d'enseignement pour mieux répondre aux besoins en cadres et compétences nécessaires au développement national.
"J'insiste encore aujourd'hui que le peuple algérien peut légitimement se féliciter de voir près de dix millions de ses enfants se rendre quotidiennement à l'école, à l'université ou au centre de formation. C'est là une preuve de l'attachement de notre pays au savoir et à la promotion sociale de tous les citoyens", a souligné le Président Abdelaziz Bouteflika.
"Cependant, ce résultat, appelé à s'accroître davantage, nous impose un saut qualitatif, pour mieux adapter la formation dispensée à tous les niveaux au marché local de l'emploi et réduire ainsi le chômage des diplômés. J'attends, donc du Gouvernement qu'il dégage des solutions efficaces à ce défi", a conclu le Chef de l'Etat. Le Conseil des Ministres a conclu ses travaux par l'approbation de décisions individuelles de nomination et de fin de fonctions aux emplois supérieurs de l'Etat".

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Washington salue la décision de l’Algérie
Les Etats-Unis ont salué la décision prise par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika pour la levée prochaine de l’état d’urgence en Algérie, la qualifiant “d'avancée positive”. Dans sa conférence de presse quotidienne, le porte-parole du Département d’Etat américain, a souligné à Washington que les Etats-Unis étaient non seulement “encouragés” par une telle décision mais ils considéraient qu'elle constitue aussi une “avancée positive”. Pour ce haut responsable de la diplomatie américaine, la décision prise par l’Algérie est “importante” et reflète “une dynamique émergente dans la région pour répondre aux demandes des peuples”.

Publié dans : conseil des ministres
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MessageSujet: Washington et Bruxelles saluent les mesures prises par l’Algérie   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeDim 6 Fév - 12:40

Par Abdelkrim Ghezali

Réagissant aux décisions prises par le Président lors du Conseil des ministres de jeudi dernier, en l’occurrence la levée de l’état d’urgence et l’ouverture des médias lourds à l’opposition, les Etats-Unis et l’Union européenne saluent ce qu’ils considèrent comme «un pas positif et encourageant». Jusqu’à hier, seuls Washington et Bruxelles se sont exprimés sur les mesures prises par l’Algérie de libérer le champ politique et médiatique. Au plan national, le PT, par la voix de sa secrétaire générale qui s’est exprimée sur les ondes de la Chaîne III, s’est dit satisfait par les décisions prises même s’il reste beaucoup à faire pour rendre la parole au peuple. Le FLN a
traduit, dans un communiqué, sa «grande satisfaction» de ces mesures qui interviennent «au moment opportun» et sont en «parfaite harmonie avec l’évolution de la société et la dynamique du peuple algérien qui aspire à davantage de progrès et de bien-être». Le RND s’est félicité de l’annonce de ces mesures, estimant que «la décision de lever l’état d’urgence et de substituer à ce dernier des mesures juridiques dans le prolongement de la lutte antiterroriste» attestait de la validité du «modèle démocratique pluraliste en vigueur dans notre pays». Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a, lui aussi, salué la décision du président de la République par laquelle il a chargé le gouvernement d’œuvrer immédiatement à élaborer un texte législatif pour permettre la levée de l’état d’urgence, estimant
qu’«il s’agit d’un important pas en avant». Le MSP a appelé l’administration à «réunir les conditions nécessaires à une vie décente pour tous les citoyens et dans toutes les wilayas, à même d’influer positivement sur la vie politique, les libertés et les droits de l’Homme, tout en œuvrant au parachèvement des réformes globales et à la modernisation des différentes lois régissant les relations politiques, à leur tête la loi sur les partis, la loi électorale, les codes communal et de wilaya et d’autres textes liés à l’information et à l’audiovisuel». Le PJL de Mohamed Saïd abonde dans le même sens et trouve ces mesures positives. Moussa Touati, au nom du FNA, a estimé que la décision de lever l’état d’urgence «est courageuse mais tardive», appelant le gouvernement à mettre en œuvre «dans les meilleurs délais» les directives du président de la République et à présenter le projet de loi relatif à la levée de l’état d’urgence dès les premières séances de la prochaine session de printemps du Parlement. Le mouvement Islah considère pour sa part que lier la levée de l’état d’urgence à l’élaboration par le gouvernement de lois relatives à la lutte antiterroriste tout en excluant Alger pour ce qui est de l’organisation de marches, consacrait le caractère «ambigu» de cette décision. Le président du mouvement, M. Ahmed Ben Abdesslam, a déclaré à l’APS que son parti invitait le pouvoir à «définir clairement ses positions en fixant des délais précis pour la levée de l’état d’urgence», ajoutant que les «justifications» apportées à l’interdiction de manifestations à Alger «sont loin de convaincre, sauf si l’objectif est d’empêcher les citoyens d’exprimer leurs préoccupations aux responsables au pouvoir». Le mouvement a exhorté le pouvoir à lever l’état d’urgence le mois en cours «sans exclure aucune région du pays» de cette mesure, appelant les médias lourds à «ne pas se contenter de couvrir les activités des partis mais à consacrer des émissions au débat contradictoire entre les formations politiques». Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a, de son côté, interpellé le pouvoir à l’effet de «répondre aux aspirations légitimes du peuple, notamment le changement du système politique […] au lieu de prendre des mesures susceptibles de créer la diversion». De son côté, le secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), M. Karim Tabou, a exprimé la position de son parti concernant certaines mesures. Dans une déclaration à l’APS, il a indiqué que «la décision envisagée de lever l’état d’urgence dans un avenir proche peut être perçue comme un signal positif» mais le projet d’élaboration d’une nouvelle loi intitulée loi antiterroriste «engendre l’inquiétude et le soupçon». Pour le FFS, les choses sont claires, «le peuple algérien aspire à un changement radical et pacifique», a-t-il dit. Pour sa part, le mouvement Nahda déterminera sa position face aux récentes mesures présidentielles à l’issue de la session extraordinaire de son conseil consultatif vendredi soir. Par ailleurs, Hillary Clinton, qui redoute une situation chaotique au Moyen-Orient, a appelé hier à partir de Munich les pays arabes à engager des réformes démocratiques pour répondre aux aspirations populaires à la liberté. Mais Mme Clinton n’a soufflé aucun mot sur l’ordre économique mondial dont les conséquences sur les peuples menacent les espaces de liberté aquis.
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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeLun 7 Fév - 12:38

Après un appel du Conseil des ministres d'élaborer des mesures visant à lever l'état d'urgence
Algériens en attente de lever les barrières de sécurité et l'autorisation des marches
Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) C1e8cvklou
Les citoyens se félicite de la décision du gouvernement du président Bouteflika avait donné le libellé de la loi qui prévoit l'abolition immédiate de l'état d'urgence décrété dans le pays depuis Février 1992, bien que la plupart ne réalisent pas les conséquences
Politiques, administratives et de sécurité de l'état d'urgence et des actions connexes, et y croire
Moyenne la suppression des barrières de sécurité sur les voies publiques et de rétablir le militaire à la caserne.
Abdel Karim a dit, travaillent dans une banque près de la première place de Mai dans la capitale,''il a finalement décidé de lever l'état d'urgence Bouteflika, et des modèles de barrières de sécurité'', ajoutant que l'état d'urgence a été d'entraver la libre circulation des Algériens et de prévenir les marches. Et confirme Amemor Khalid, du mandat de Mila, il ne sait pas le sens juridique de l'état d'urgence, et nous avons besoin de clarifier Kjzairien, par rapport à clarifier la loi contre le terrorisme, soulignant qu'il n'avait pas l'impression qu'il est un état d'urgence et ne peut pas sentir sur la plainte déposée. Il dit Haitham Saad Xian ville de l'état bereen Djelfa, que, dans le respectable imposer un état d'urgence pour des raisons de sécurité purement, a calculé la valeur répercussions de monnaies à l'euro ou le dollar, qui pourrait coûter l'Etat politiquement ou économiquement, mais en Algérie ne sont pas significatifs et n'ont pas pu justifier d'au moins Au cours des dix dernières années.
Pour sa part, voit Massoud une trêve, qui travaille dans le secteur de l'Internet, il ne croit pas qu'il ya une grande différence entre la situation de l'Algérie en vertu d'un état d'urgence et le mettre dans le cas de l'ajournement, saying''I ne se sentent pas à tout ce qu'il ya quelque chose qui s'appelle l'état d'urgence, je me sens seule alors que les décisions interdisant des marches ou d'interdire la création de partis politiques et les restrictions à la création de journaux,''at-il dit, ajoutant état that''a d'urgence a été associée concept de contrebande politique, médiatique et freedoms''and individu a souligné la trêve qui he''did pas comme des citoyens de l'Algérie sur le plan politique, de ne pas accorder l'accréditation à un certain nombre de parties qui ont Bmelvadtha au ministère de l'Intérieur''.
Pour M. Hamza Dbeh le parler élever l'état de emergency''will juste imperceptiblement objectif politique est de contourner les signes d'une explosion de protestation se profile sur la scène horizon algérienne, et une tentative d'Algériens Nglait par le président que la résolution ne changera pas du tout dans la situation générale du pays ne va pas introduire quelque chose de concret de nouvelles peut améliorer la vie des Algériens, en termes de libre exercice d'expression et l'activité politique, qui est aussi une tentative de créer l'impression que l'alimentation externe et interne ouvert aux citoyens''. Il dit que la clé de Bkhosh, un professeur d'université, était au courant des procédures liées à la situation d'urgence politiquement, juridiquement et économiquement,''mais au moment d'un jeu politique entre le président et les parties, et s'inscrit dans l'équation de pression et de''contre-pression, en soulignant qu'il ne croyait pas que l'adoption de l'ajournement aurait les conséquences des grandes clairement influencé la vie des Algériens
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MessageSujet: Les Algériens veulent le changement sans le chaos   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeJeu 10 Fév - 15:38

il y a 4 heures 19 min,

Si de nombreux Algériens estiment que leur pays a besoin d'un changement à la tête de l'Etat, ils mettent en garde contre une transition trop brutale et brandissent le spectre de troubles qui pourraient faire replonger le pays dans le chaos des années 1990.
Les Algériens ont observé avec fascination et intérêt les manifestations qui menacent actuellement le régime égyptien d'Hosni Moubarak et ont conduit à la chute du président tunisien Zine ben Ali à la mi-janvier.

Portés par cette vague de mobilisation sans précédent dans le monde arabe, des organisations algériennes de la société civile, des syndicats et des petits partis politiques ont annoncé leur intention de braver l'état d'urgence en vigueur depuis 1992 en organisant un rassemblement samedi.

Mais si le pays est confronté aux mêmes problèmes de chômage et de précarité que ses voisins, rien ne semble indiquer jusqu'à présent que la manifestation remportera le même succès et parvienne à mobiliser autant qu'en Tunisie ou en Egypte.

"Le changement oui, le chaos non", a déclaré à Reuters Aïcha Chikoune, une employée d'un bureau de poste du centre de la capitale, résumant bien la position de la population algérienne.

"Nous ne devons jamais oublier les années de sang et de larmes des années 1990 après la mort et la décapitation quotidienne de centaines de personnes", a-t-elle ajouté.

Le pays avait sombré dans le chaos en 1992 après l'annulation par le gouvernement du second tour des élections législatives que les islamistes du Front islamique du salut (FIS) étaient sur le point de remporter. Selon des estimations indépendantes, 200.000 personnes avaient trouvé la mort dans les violences qui ont suivi cette décision.

"Il n'y a pas assez de cercueils", avaient alors l'habitude de dire les Algériens.

Bien qu'ayant considérablement diminué en nombre, les attaques et les attentats menés par des insurgés liés à Al Qaïda se sont poursuivis ces dernières années. Le retour d'une certaine stabilité a toutefois permis aux Algériens de prendre conscience de leur niveau de vie et de leur mécontentement grandissant.

A l'image de la jeunesse tunisienne et égyptienne, ils dénoncent le chômage, la hausse des prix des produits alimentaires, la corruption, et se demandent pourquoi ils n'ont tiré aucun profit des milliards de dollars des ressources pétrolières et gazières du pays.

Afin d'apaiser la colère des manifestants et prévenir tout risque de scénario "à la tunisienne et à l'égyptienne", le président Abdelaziz Bouteflika a promis la semaine dernière de lever l'état d'urgence et a ordonné à son gouvernement d'adopter des mesures favorables à la création d'emplois.

INTERDICTION OFFICIELLE

Des mesures jugées insuffisantes par les organisateurs de la manifestation de samedi qui appellent à la démission de Bouteflika.

"Nous défilerons parce que c'est notre droit de manifester pacifiquement et c'est au gouvernement de nous protéger", a déclaré Rachid Malawi, responsable du Syndicat autonome des travailleurs de la fonction publique.

Le 22 janvier dernier, une manifestation non autorisée organisée par le parti Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) n'était parvenue à rassembler qu'une poignée d'Algériens sur la place du 1er mai, au centre de la capitale, en raison d'un déploiement important des forces antiémeutes et du peu d'intérêt de la population.

"Nous ne devons jamais oublier qu'il n'y a pas une seule famille algérienne qui n'ait pas été touchée par le chagrin ces 20 dernières années", a souligné l'avocat et militant des droits de l'homme, Mokrane Ait Larbi, dans le quotidien El Watan.

"Nous ferons tout notre possible pour faciliter un changement pacifique et éviter les bains de sang", a-t-il ajouté.

Reflétant l'opinion publique, les islamistes ont fait savoir qu'ils ne participeraient pas au rassemblement de samedi.

"Nous sommes opposés à cette marche parce que les organisateurs ne représentent qu'une petite minorité et non le peuple algérien", a ainsi déclaré le prédicateur salafiste Cheikh Abdelfateh Zeraoui.

"Bouteflika, ça va, mais le gouvernement doit partir parce qu'il n'est pas parvenu à créer des emplois et à résoudre les problèmes de la jeunesse algérienne."

Un point de vue partagé par Cheikh El Hachelmi Shahmouni, membre fondateur du FIS, qui a également indiqué qu'il ne participerait pas au défilé de samedi.

"La jeunesse doit éviter la confrontation, c'est inutile. Elle doit nouer un dialogue avec Bouteflika et ce dernier doit écouter les jeunes et résoudre leurs problèmes."

Marine Pennetier pour le service français
http://fr.news.yahoo.com/4/20110210/twl-algerie-bd5ae06.html
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MessageSujet: washington, Bruxelles, paris et berlin appellent le pouvoir à respecter le droit de manifester    Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeLun 14 Fév - 23:06

Au lendemain de la répression de la marche initiée par la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, le gouvernement algérien essuie des critiques et autres rappels à l’ordre de la part des grandes puissances occidentales.

Pris de court par la chute brutale de Zine El-Abidine Ben Ali en Tunisie et de Hosni Moubarak en égypte sous la pression de la rue, Américains et Européens semblent s’être amendés de leurs erreurs passées quand ils couvraient de leur silence complaisant des atteintes graves aux libertés et autres exactions commises par les régimes despotiques de l’hémisphère-Sud.
Conséquence : la violente répression de la marche du 12 février par la police n’est pas restée sans conséquence puisque le lendemain seulement, l’UE, les USA, l’Allemagne et la France ont condamné en chœur le recours à la force par les autorités algériennes pour empêcher des manifestations pacifiques.
Dans un communiqué rendu public le 13 février, le porte-parole du département d’état américain, M. Philip Crowley, a écrit : “Nous prenons acte des manifestations actuelles en Algérie, et appelons à la retenue les forces de sécurité.” Après avoir réaffirmé le soutien de son pays “aux droits universels du peuple algérien, y compris les droits de réunion et d'expression”, ceux-ci s'appliquant aussi sur Internet, et qui “doivent être respectés”, M. Crowley prévient Alger que les Américains “suivront de près la situation ces prochains jours”.
L’UE a, elle aussi, sonné les cloches aux autorités algériennes en les appelant, dimanche, à respecter le droit des Algériens à manifester pacifiquement. Tout en exigeant la libération “immédiate” de “tous les manifestants arrêtés sans exception”, le président de l’Union européenne, M. Jerzy Buzek, a exhorté les autorités algériennes “à ne pas céder à la violence et à respecter le droit de leurs citoyens à manifester pacifiquement”. Même les deux pays locomotives de l’UE ne se sont pas privés de rappeler à l’ordre Alger.
Sur les ondes de la chaîne ARD, le chef de la diplomatie allemande, Guido Westerwelle, a soutenu que “le gouvernement allemand appelle le gouvernement algérien à renoncer à tout recours à la violence”.
“Il s'agit de manifestants désireux de liberté, qui ne font rien d'autre qu'exercer un droit humain, à savoir le droit de défendre dignement leur point de vue. C'est pourquoi nous condamnons toute forme de recours à la violence”, ajoute le chef de la diplomatie allemande, précisant que “nous sommes, en tant que démocrates, du côté des démocrates.” Ne pouvant rester à l’écart de ce mouvement de condamnation du régime algérien par les grandes puissances occidentales, les Français ont mis aussi leur grain de sel sans trop accabler le régime algérien, se contentant d’émettre le souhait qu’en Algérie les manifestations puissent se dérouler “librement et sans violence”.
“S'agissant des manifestations organisées à Alger et dans certaines grandes villes, ce qui est important à nos yeux, c'est que la liberté d'expression soit respectée et que les manifestations puissent se dérouler librement et sans violence”, a déclaré le porte-parole du Quai d’Orsay, Bernard Valero.
Voulant ménager le chou et la chèvre, M. Valero a tenu à décerner un bon point aux autorités algériennes, estimant que la mise en œuvre de mesures de levée de l'état d'urgence et d'ouverture des médias audiovisuels, promises par le chef de l’état, constituera “à l'évidence, un pas dans la bonne direction”. “Nous avons pris note de l'ensemble des décisions annoncées lors du dernier Conseil des ministres du 3 février en Algérie, en particulier la levée imminente de l'état d'urgence et l'ouverture du champ audiovisuel aux différentes sensibilités politiques. Ces mesures, dès qu'elles seront mises en œuvre, constitueront à l'évidence un pas dans la bonne direction pour répondre aux attentes du peuple algérien”, a-t-il souligné.
Reste à savoir si ce carton rouge des grandes puissances occidentales aura un effet de persuasion sur les autorités algériennes. Feraient-elles dorénavant preuve de retenue en laissant l’opposition organiser librement des manifestations, y compris dans la capitale, ou ressortiraient-elles la vieille rengaine, usée jusqu’à la corde, de l’ingérence étrangère dans les affaires internes du pays ?
Réponse le 19 février, jour de la seconde marche à laquelle vient d’appeler la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD).
pfff qu'ils balaye devant leurs portes cela deviens de l'ingérence des pays occidentaux
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MessageSujet: «Balayez d’abord devant vos portes!»   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeMar 15 Fév - 23:31

LOUISA HANOUNE RÉPOND À L’INGÉRENCE DES OCCIDENTAUX
Ce sont eux qui répriment les banlieues, expulsent les Roms et qui reconduisent le «Patriot Act US» sous couvert de lutte antiterroriste.

«Impérialistes». Voilà un qualificatif qui allait se perdre dans les méandres de l’oubli et fondre dans la normalité de la mondialisation. Mais le Parti des travailleurs vient nous rappeler, avec force détails, qu’il n’est pas si soluble que ça. Dans un communiqué truffé d’arguments et surtout de rappels - en ces moments d’amnésie généralisée -, le parti de Mme Hanoune a répondu aux puissances impérialistes qui se sont exprimées sur les conditions qui ont entouré la marche non autorisée du 12 février dernier à Alger.
Le premier est un principe: «C’est aux Algériens et à eux seuls de résoudre leurs problèmes, par des solutions exclusivement algériennes. Aucune Algérienne, aucun Algérien digne de ce nom ne saurait tolérer toute atteinte à la souveraineté nationale», souligne le communiqué du PT. Au gouvernement américain qui a appelé avant-hier les forces de sécurité à la retenue, le PT assène une vérité en rappelant notamment «le Patriot Act US imposé sous couvert de lutte contre le terrorisme, autrement plus restrictif des libertés et exposant les citoyens américains aux pires atteintes à la vie privée et aux droits démocratiques (jugement par des tribunaux militaires, enfermement à Guantanamo, etc.) vient d’être reconduit».
Le rappel étant fait, le Parti des travailleurs a livré alors une série d’interrogations dans son communiqué: «Alors, le gouvernement US ne doit-il pas faire preuve de retenue en la matière? M.Obama ne doit-il pas tenir compte de l’avis de l’écrasante majorité du peuple américain qui veut la paix? Ne doit-il pas faire preuve de retenue en Afghanis-tan, au Pakistan, en Irak et ce faisant, respecter ses engagements électoraux?»
Cela ne diminue en rien la position du parti de Mme Hanoune qui appelle à la levée de l’interdiction des marches dans la capitale, car anachronique au regard de la restauration confirmée de la paix et des avancées en matière de développement économique, et la levée dans un très proche avenir de l’état d’urgence. Ayant ainsi réglé son compte à la puissance américaine, le document du PT s’est penché sur la position de l’Union européenne et des gouvernements respectifs d’Allemagne et de France pour leur rappeler que c’est à eux de faire preuve de retenue quant à «leurs politiques discriminatoires à l’égard des migrants, des Roms...», «ne doivent-ils pas faire preuve de retenue quant à leur violation des souverainetés et volontés populaires, lorsqu’ils imposent la Constitution européenne, font fi de la volonté de millions de travailleurs et retraités?» Les gouvernements allemand et français qui décrètent l’échec des sociétés multiculturelles, pour justifier les mesures racistes, ne doivent-ils pas faire preuve de retenue?» s’est encore interrogé le Parti des travailleurs avant d’ajuster son tir sur le gouvernement français qui doit «faire preuve de retenue lorsqu’il réprime les banlieues et promet de les nettoyer au Karcher? N’est-ce pas ce même gouvernement qui, au mépris de la démocratie, a imposé la contre-réforme des retraites, pourtant rejetée par des millions de travailleurs, jeunes et retraités?» En somme, le parti de Mme Hanoune a conseillé à ces puissances occidentales de balayer devant leur porte, au Karcher de préférence, avant de se pencher sur l’Algérie.
En fait, pour le PT, ces réactions du gouvernement US et ses supplétifs de l’UE, n’obéissent qu’au seul objectif qui consiste à piller les richesses nationales. C’est la seule motivation des Occidentaux qui «rêvent d’une révolution orange, dans notre pays». Aux médias qui posent la question: «A qui le tour?» Après la Tunisie et l’Egypte, le Parti des travailleurs réserve moins d’un demi-chapitre et répond: «La situation est déjà pré-révolutionnaire en Grèce, en France, en Irlande, en Italie, en Espagne, en Allemagne, en Roumanie et bref, dans toute l’Europe...et ce sont des plans d’austérité dictés par l’UE et le FMI et le gouvernement US, qui mettent à l’ordre du jour, les explosions révolutionnaires.»
Dressant un rempart contre toute ingérence étrangère, dans les affaires de notre pays, contre ces révolutions concoctées par les centres impérialistes, le PT affirme ne pas craindre «les authentiques révolutions en rupture avec l’ordre impérialiste».

Nabil BELBEY
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MessageSujet: Des intellectuels algériens dénoncent   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeMer 16 Fév - 12:43

16 Février 2011
Les USA et l’UE se sont encore une fois trompés d’adresse pour réparer leurs ratés diplomatiques.
Une campagne médiatique de l’Occident et des Etats-Unis est lancée contre l’Algérie. C’est le cas depuis l’interdiction, par les autorités algériennes, de la marche du 12 février dernier à laquelle a appelé la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (Cncd). Les spécialistes sont catégoriques. Il s’agit d’une volonté de l’Union européenne et des Etats-Unis de réparer leurs ratés diplomatiques après avoir manqué leur coup sur ce qui s’est déroulé en Tunisie et en Egypte.
Usant de l’alibi des droits de l’homme, des libertés démocratiques et d’expression, les USA et l’UE, a expliqué le politologue Mustapha Saïdj, se sont arrogé un droit d’ingérence dans les affaires internes de différents pays. «Il s’agit de définir leurs rôles selon leurs propres conceptions et leurs intérêts hégémoniques en gérant sournoisement le cours des événements, suivant leurs convenances».
Selon lui, «les récentes déclarations et mises en garde de la Maison-Blanche et des Européens suggérant à l’Algérie de respecter le droit des citoyens à manifester et à s’exprimer librement et pacifiquement en sont la preuve». En fait, le professeur Mustapha Saïdj a soutenu que le droit d’ingérence est mis en marche pour servir des intérêts hautement stratégiques et géostratégiques. «Ce droit d’ingérence, sous l’alibi des droits universels et démocratiques, est devenu un paramètre important dans les relations géostratégiques.»
De son côté, le politologue Abderezzak Saghour a indiqué que depuis 2002, peu avant l’invasion de l’Irak, les intellectuels occidentaux ont soutenu l’idée de défendre la démocratisation du Monde arabe, qui commencerait par l’Irak, puis s’étendrait à toute la région. En ce temps, les politiques français et leurs médias ont comparé cette démarche à une nouvelle théorie des dominos. Cette théorie, de l’avis de Abderezzak Saghour, a été «énoncée au XXe siècle, selon laquelle le basculement d’un pays en faveur du changement serait suivi du même changement dans les pays voisins».
Pour sa part, le professeur M’hend Berkouk, spécialiste des questions géostratégiques, nous fait savoir que le projet de démocratisation du Monde arabe, aux couleurs américaines, a étalé, au regard des événements ayant secoué la Tunisie et l’Egypte, ses tentacules et manoeuvres au monde entier. Les Etats-Unis ont renforcé leur unilatéralisme, en lui imprimant une orientation qu’il n’a jamais connue par le passé. «Tous ceux qui s’opposent aux stratégies américaines sont des dictateurs ou des terroristes, puis considérés, par conséquent, comme tels par tout l’Occident», a-t-il assuré, avant d’ajouter que la position américaine, suivie par les Européens, à l’égard des révoltes des peuples tunisien et égyptien, en est une parfaite illustration. A cet égard, il a souligné que l’Occident, en général, et les Etats-Unis, en particulier, ont redessiné le nouvel ordre mondial pour préserver des intérêts stratégiques avérés. Ces intérêts ont, a-t-il expliqué, pour objectif de garantir et de consolider la suprématie des Etats-Unis.
C’est dire que la nouvelle stratégie américaine (Projet de la démocratisation du Moyen-Orient en 2004 et par extension en Afrique du Nord: Grand Moyen-Orient), mise sur pied par l’administration Bush, constitue un élément décisif dans le jeu des relations internationales. Selon lui, les Etats-Unis avaient déjà conçu leur vision du monde à partir de 1992 sur la nature du monde à l’horizon 2030. Toutes les lectures actuelles des événements au Moyen-Orient et par extension en Afrique du Nord, confortent les propositions du premier document stratégique américain post-Guerre froide.

Kamel LAKHDAR-CHAOUCHE
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MessageSujet: Les pays étrangers doivent faire preuve de retenue avant de prodiguer des conseils à l'Algérie   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeVen 18 Fév - 11:32

Le Secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), M. Abdelaziz Belkhadem a appelé, mercredi à Alger, les pays étrangers qui "veulent prodiguer des conseils à l'Algérie, à faire eux-même preuve de retenue" . Intervenant lors d'une conférence de presse organisée à l'issue de la réunion de coordination des partis de l'Alliance présidentielle à l'occasion du 7ème anniversaire de sa création, M. Belkhadem a fustigé la position de l'Administration américaine qui a appelé les forces de sécurité algériennes à la retenue après la marche non autorisée du 12 février, lui signifiant d'en faire de même.

Dans ce contexte, M. Belkhadem a rappelé les évènements de Los Angeles survenus il y a quelques années sur fond de comportement raciste de la justice américaine et qui ont fait plus de 100 morts suite au déploiement de 4.500 marines et plus de 22.000 policiers.

"Ils doivent faire preuve de retenue eux-mêmes avant de prodiguer ce conseil aux autres, et à ceux qui en ont fait l'écho je rappelle les évènements survenus en banlieue parisienne et dans les grandes villes de France", a-t-il martelé.

"Je voudrais rappeler à ceux qui veulent nous donner des conseils qu'en Algérie, pas une seule balle n'a été tirée et pas une grenade lacrymogène lancée" lors des dernières manifestations, a affirmé M. Belkhadem ajoutant que "la liberté d'expression existe en Algérie, reste à choisir le moyen idoine de l'exercer pour éviter tout dérapage".

"Nous croyons en la liberté d'expression et en le droit d'organiser des manifestations autorisées dans le cadre de la pluralité des opinions", a ajouté le Secrétaire général du FLN qui a reconnu la légitimité des revendications soumises relevant toutefois que le désaccord consistait, en premier lieu, en la manière d'exprimer ces revendications.

"Nous rejetons totalement tout dérapage qui pourrait conduire à des actes de pillage et de destruction", a-t-il insisté. A une question sur le droit à l'organisation de marches en dehors de la capitale, M. Belkhadem a répondu que la liberté d'expression était garantie sous réserve de respecter l'ordre public". Par ailleurs, M. Belkhadem a soulevé la question du traitement des évènements survenus en Algérie par des médias étrangers qui "véhiculent telle ou telle thèse sans daigner s'assurer de l'authenticité des informations". "Leurs fausses allégations ont été battues en brèche par des images et des chiffres", a-t-il souligné. Dans ce contexte, M. Belkhadem a exhorté toutes les parties internes à éviter de ternir l'image de l'Algérie et de dénigrer les efforts consentis aussi insuffisants soient-ils.Il a également mis en garde contre les conséquences des tentatives de jeter les jeunes dans le désespoir. Le Secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), M. Ahmed Ouyahia avait affirmé, plus tôt, que "nul ne peut se détourner des préoccupations de la société quelle que soit la manière dont elles sont exprimées. Le peuple est toujours souverain". Il a souligné la nécessité de proposer des solutions idoines à ces préoccupations rappelant par la même les décisions et les mesures urgentes prises lors du dernier conseil des ministres. Concernant l'appel de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) à organiser des marches tous les samedis, M. Ouyahia a affirmé que les membres de la coordination "sont libres d'exprimer leurs revendications, mais que ce soit dans le respect des lois et sans dérapages qui pourraient conduire à l'anarchie". Le président de la société pour la paix (MSP), M. Bouguerra Soltani a, quant à lui, affirmé que l'Algérie possédait sa propre expérience en matière de gestion des crises saluant les mesures, annoncées récemment, de nature à répondre aux attentes des jeunes. Dressant le bilan de sept années d'activité de l'Alliance présidentielle, M. Soltani a estimé que les résultats étaient insuffisants imputant ce constat à l'absence de coordination. L'action de l'Alliance est concentrée au niveau des systèmes exécutif et parlementaire, a-t-il expliqué.(APS)

Publié dans : Abdelaziz Belkhadem
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/9344
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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeMar 22 Fév - 21:27

le levé de l'état d'urgence en algérie depuis 19 ans est imminente
source: BFM.tv
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MessageSujet: Les ordonnances du président adoptées    Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeMar 22 Fév - 22:25

Levée de l’état d’urgence et nouveau cadre pour la lutte antiterroriste ,

Trois autres projets, deux ordonnances
et un décret présidentiel ont été examinés et adoptés. Ces textes viennent combler le vide juridique induit par la levée de l’état d’urgence et préciser et encadrer le rôle de l’ANP.

Le projet d’ordonnance présidentielle sur la levée de l’état d’urgence a été examiné et adopté, hier, en conseil des ministres. Le texte entrera en vigueur dès sa publication au Journal officiel, selon le communiqué du conseil repris par l’APS. Sans donner de date, l’agence précise que la levée est “imminente”.
Cette ordonnance vient ainsi, 19 ans après, abroger le décret législatif du 6 février 1993 qui a prorogé l’état d’urgence institué par le décret présidentiel le 9 février 1992 pour “restaurer l’ordre public et à mieux assurer la sécurité des personnes et des biens, ainsi que le bon fonctionnement des services publics”.
Lutte antiterroriste oblige, trois autres projets, deux ordonnances et un décret présidentiel ont été examinés et adoptés. Ces textes viennent combler le vide juridique induit par la levée de l’état d’urgence et préciser et encadrer le rôle de l’ANP.
Le premier texte abroge l’ordonnance du 6 février 1993 tout en précisant les missions de l’armée dans la lutte contre le terrorisme. Le second, lui, “délègue” à la mission de conduite et de coordination de la lutte contre le terrorisme et la subversion. Les services de sécurité engagés dans la lutte contre le terrorisme vont opérer sous la coupe de l’état-major de l’armée. Les modalités d’exécution seront précisées par un texte d’application des ministères de la Défense et de l’Intérieur. Il est précisé que les textes en question n’induiront pas de situation nouvelle, mais permettront la poursuite de la lutte contre le terrorisme.
Le dernier texte, une ordonnance, introduit une nouvelle disposition dans le code de procédure pénale, un complément qui permet au juge d’instruction de mettre en résidence protégée tout inculpé d’acte terroriste. Pour les besoins de l’instruction ou dans le cas où le terroriste serait susceptible de fournir des informations, le juge d’instruction, à la faveur de ce texte qui complète l’article 125 bis 1 du code de procédure pénale, peut placer l’inculpé dans une résidence protégée. L’inculpé aura droit de communiquer avec son avocat et de recevoir des visites. Cette mesure ne peut dépasser trois mois et n’est renouvelable qu’une seule fois. Il est précisé qu’elle ne concerne qu’une certaine catégorie de terroristes. Ce texte, qui vient combler une lacune dans le dispositif, pourrait s’appliquer aux chefs terroristes déjà entre les mains des services de sécurité. C’est le cas de l’ex-émir du GSPC, Hassen Hattab, et Amari Saïfi (Abderrazak El Para), extradé du Niger, tous les deux cités dans des affaires liées aux attentats terroristes. Utile précision, d’autant plus que ces deux chefs terroristes ne se sont jamais présentés devant le juge alors qu’ils sont cités dans plusieurs procès.
Ces trois textes viennent suppléer à la carence induite par la levée de l’état d’urgence pour encadrer la lutte contre le terrorisme, mais explicite, également, le rôle et les missions de l’armée qui demeure ainsi à la tête de ce combat avec sous sa coupe les autres services de sécurité
http://www.journalalgerie.net/journauxenfrancais/liberte.htm
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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeJeu 24 Fév - 19:35

l'état d'urgence en algérie a été levé Officiel, cheers cheers cheers Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) 4vo794s3sk

Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) Xwxayzo0pm
L'état d'urgence était en vigueur depuis dix-neuf ans pour lutter contre la guérilla islamiste.AFP/STR

L'état d'urgence instauré en Algérie en 1992 a été officiellement levé, jeudi 24 février, avec la publication au Journal officiel algérien du décret en ce sens. La mesure avait été adoptée en conseil des ministres mardi et son application avait alors été annoncée comme "imminente".

"Le président de la République […] promulgue l'ordonnance dont la teneur suit : Article 1. – Est abrogé le décret législatif no 93-02 du 6 février 1993 portant prorogation de la durée de l'état d'urgence instauré par décret présidentiel no 92-44 du 9 février 1992", lit-on dans le JO à la date du 23 février mais mis en ligne jeudi.

Promulgué en février 1992 pour lutter contre la guérilla islamiste, il avait été prorogé un an plus tard. Selon le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, son abrogation relève d'"un retour à l'Etat de droit qui permet de manière totale l'expression des opinions, mais toujours par référence à la loi. Les mesures exceptionnelles prévues par l'état d'urgence pourront être levées, mais la lutte contre le terrorisme sera encadrée par des lois".
Jeudi, un conseiller du président a par ailleurs assuré à la télévision que le pouvoir plaçait "la lutte contre la corruption, les pratiques parasitaires et la fraude au cœur de son action".

Après à la chute des régimes Ben Ali en Tunisie et Moubarak en Egypte, des organisations de l'opposition algérienne appellent à manifester chaque samedi jusqu'à la démission du gouvernement
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/02/24/algerie-l-etat-d-urgence-leve-en-algerie_1484918_3212.html#xtor=AL-32280184
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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeJeu 24 Fév - 20:06

une tres bonne chose de faite c'est parfait 969227

Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) E4cwiu0nep
c'est pas beau çà
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MessageSujet: Nous espérons des mesures supplémentaires   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeSam 26 Fév - 13:20

OBAMA :

Les Américains n’ont pas tardé à réagir aux dernières mesures annoncées, mardi dernier, par le Conseil des ministres. Et après avoir dépêché un émissaire à Alger, ce jeudi, Barack Obama s’est exprimé en personne, dans la soirée, sur «le cas Algérie».
«Je félicite le gouvernement de l’Algérie d’avoir pris aujourd’hui une mesure importante de la levée officielle de l’état d’urgence qui a été mis en place en Algérie depuis 19 ans», dira le président américain dans un communiqué diffusé par la Maison Blanche. Cette mesure, Obama l’interprète comme «un signe positif du gouvernement algérien montrant qu’il est à l’écoute des préoccupations et qu’il répond aux aspirations de son peuple». Ce disant, le patron de la Maison Blanche nuancera tout de suite après ces «bonnes notes» lorsqu’il précisera ce qu’il «espère» encore. «Nous espérons des mesures supplémentaires du gouvernement qui permettent au peuple algérien d'exercer pleinement ses droits universels, dont la liberté d'expression, d’association et de rassemblement. » C’est un véritable «peut mieux faire» que délivre, là, la première puissance mondiale à l’endroit de Bouteflika en matière d’ouverture démocratique. Car si Obama affirme que «les Etats-Unis sont résolus à poursuivre leur coopération avec le gouvernement algérien qui œuvre à représenter et à répondre aux besoins de tous les Algériens», il ne manquera pas d’indiquer que «nous allons également continuer à discuter pour les libertés universelles, la justice et la dignité humaine». Cette déclaration d’Obama intervient à l’issue de la visite du secrétaire d’Etat adjoint américain, chargé des affaires politiques, William Burns, jeudi à Alger, où il a eu un entretien avec Bouteflika. Jugeant à son tour «comme très positifs les engagements qui ont été pris de donner plus d’opportunités en ce qui concerne l’emploi, le logement et l’éducation», le responsable américain insistera, toutefois, sur «l’espoir» de l’administration Obama que «toutes ces mesures seront concrétisées très rapidement». Faisant remarquer que «la région tout entière connaît de profonds changements (et que) les peuples sont en quête de liberté, de dignité et d’opportunités», Burns ajoutera, au sortir de son audience avec Bouteflika, que «la concrétisation de ces aspirations prendra des formes différentes selon les sociétés». Et s’agissant de l’Algérie, «nous souhaitons que la réponse à ces aspirations soit la plus ouverte, la plus sérieuse, la plus claire et le plus tôt possible». En d’autres termes, il s’agit là de pressions indirectes de la part de Washington qui, certes, prend acte mais fait comprendre qu’il est hors de question de signer un chèque en blanc pour Bouteflika. C’est le parfait wait and see…
K. A.








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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeDim 27 Fév - 21:17

Actualités : GOUVERNEMENT
Remaniement ou changement cette semaine
Abdelaziz Bouteflika procédera à des changements dans l’équipe gouvernementale qu’il annoncera très prochainement, avons-nous appris d’une source très bien informée. «L’annonce officielle se fera d’ici mardi», précise notre source.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) -S’agira-t- il d’un changement, à proprement parler, du gouvernement ou d’un simple remaniement ? Autrement dit, Ouyahia sera-t-il reconduit comme Premier ministre ? Le changement sera-t-il d’ampleur ou restreint ? Aucune indiscrétion fiable n’est en mesure de favoriser une réponse par rapport à l’autre. «Seule certitude pour le moment, c’est l’imminence de ce changement ». Hier, la présidence a, en tout cas, ordonné au gouvernement de reporter sa réunion, prévue pour mardi, pour le lendemain, mercredi, dans l’après-midi. «La réunion du gouvernement se tiendra mercredi dans l’après-midi, car la matinée est consacrée à la cérémonie d’ouverture de la session de printemps du Parlement», explique une autre source. Mais ce qui peut plaider le maintien d’Ahmed Ouyahia à la tête du gouvernement, selon nos sources, c’est surtout «le maintien de la réunion du gouvernement avec le même ordre du jour transmis jeudi dernier aux membres de l’exécutif». Par ailleurs, le patron du Rassemblement national démocratique (RND) Ahmed Ouyahia a programmé de réunir les parlementaires de son parti, mardi à 17h à Ben Aknoun et «le rendez- vous est maintenu», affirmait-on dans son entourage hier. Pour quel type de changement optera Bouteflika qui a, mardi dernier à peine, chargé ce même gouvernement Ouyahia d’une vaste feuille de route, un véritable plan d’urgence avec «obligation de résultats» et à court terme, en plus ? Le locataire d’El- Mouradia avait confié, lundi dernier, à l’ancien Premier ministre français, Jean-Pierre Raffarin, qu’il annoncerait «d’importantes décisions politiques», dans les jours à venir. Des décisions recommandées surtout par le Conseil national de sécurité qu’avait réuni Bouteflika par deux fois ces derniers jours. Entre autres, la levée de l’état d’urgence, des mesures choc dans les domaines de l’emploi, du logement, etc. mais aussi de quelques «têtes» impopulaires au niveau du gouvernement. Alors qui payera les frais pour les besoins d’un effet d’annonce que cherche visiblement Bouteflika ?
K. A
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MessageSujet: Lavrov se rend en Algérie pour une visite de travail   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeJeu 17 Mar - 17:04

Lors d'une visite de travail en Algérie (21-22 mars), le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, sera reçu par le président Bouteflika et rencontrera son homologue algérien, a annoncé jeudi Alexandre Loukachevitch, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.

"Il est très symbolique que cette visite s'effectue à la veille du dixième anniversaire de la déclaration sur un partenariat stratégique entre nos deux pays que les présidents russe et algérien ont signée à Moscou le 4 avril 2001", a estimé le diplomate devant les journalistes.

Les négociations russo-algériennes porteront sur les voies à emprunter pour régler des conflits régionaux, notamment le conflit arabo-israélien et celui du Sahara Occidental, a indiqué M.Loukachevitch.

Et d'ajouter qu'à l'avenir également la Russie entendait coordonner avec l'Algérie ses approches des principales questions internationales.

Il sera aussi question de la coopération bilatérale dans les domaines économique, énergétique, militaire et technique, l'Algérie figurant parmi les trois plus gros partenaires commerciaux de la Russie sur le continent africain
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MessageSujet: Message du président Bouteflika : «L’Etat accordera la priorité aux problèmes de développement»   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeVen 18 Mar - 22:13

http://www.horizons-dz.com/actualite/19817.html
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a affirmé jeudi que l'Etat accordera la priorité aux problèmes de développement après avoir consolidé les fondements de la paix et de la stabilité dans le pays. «Après avoir consolidé les fondements de la paix et la stabilité dans le pays, nous avons œuvré dans notre politique ces dernières années à accorder la priorité aux problèmes de développement, à la construction des infrastructures de base, à la lutte contre la corruption et à la prise en charge des préoccupations des Algériennes et Algériens», a indiqué le Président Bouteflika dans un message adressé aux participants à un meeting organisé par l'Union générale des étudiants libres (UGEL) à la Coupole Mohamed-Boudiaf à l'occasion du 22e anniversaire de sa création sous le slogan «Algérien et fier».
Il a précisé dans son message lu en son nom par M. Mohamed Ali Boughazi, conseiller auprès de la présidence de la République, que cela intervient «selon les capacités et les moyens de l'Etat, et ce par la hiérarchisation des problèmes dont l'emploi notamment celui des jeunes».
Il a rappelé, à ce propos, «les mesures prises, tant dans le secteur public que privé, et dans tous les domaines, à même de permettre aux jeunes intéressés de bénéficier de divers crédits d'investissement, en particulier dans le domaine agricole, ainsi que des contrats de pré-emploi et d'intégrer le plus grand nombre de chômeurs dans la dynamique de l'économie nationale, sans parler de l'augmentation de la bourse de l'étudiant». «Nous avons persévéré dans notre politique, à rapprocher les entreprises de production des établissements de formation et d'enseignement supérieur afin de résorber le chômage et de dynamiser les rouages de l'économie et du développement», a souligné le chef de l'Etat. Il a affirmé également que l'Etat continuait de faire face au problème de logement pour répondre à tous les besoins, en prenant en considération ceux des jeunes appelés à fonder un foyer.
«Différents chantiers de développement, a-t-il indiqué, sont en outre entamés, notamment ceux initiés par l'Etat dans le domaine du transport et de la construction d'infrastructures universitaires d'enseignement et d'hébergement en les dotant d'équipements adéquats à l'enseignement et à la recherche tout en offrant les conditions idoines à l'étudiant, au chercheur et à l'enseignant universitaire». Il a souligné, en outre, que ce progrès matériel et économique «doit aller de pair avec la promotion des libertés publiques et privées, la libération des initiatives et l'instauration d'un climat adéquat aux espaces de l'expression libre et responsable pour l'édification d'une démocratie judicieuse».
Il a mis en relief «les mesures importantes prises dans les secteurs compétents pour ouvrir la voie à la libre expression et au dialogue sérieux tout en posant les questions de fond sans exclusive dans un cadre transparent et clair. Cette démarche est susceptible de concrétiser les avis et les suggestions utiles et d'éloigner celles futiles et tendancieuses qui nuisent à tout un chacun». «Il est pour moi un motif de fierté que la jeunesse algérienne, armée de science et de savoir et attachée aux principes d'amour de la patrie et de défense des réalisations et des acquis arrachés par le peuple au prix de lourds sacrifices, prenne l'initiative de s'affirmer et d'exprimer, avec lucidité et responsabilité, ses aspirations à contribuer à l'édification de l'Algérie de demain», a-t-il encore affirmé.
Pour le Président Bouteflika l'Algérie de demain doit être «une Algérie fidèle aux fondements de la Nation, de l'Unité territoriale et de la Souveraineté du Peuple, mais aussi une Algérie qui consacre la coexistence pacifique, la démocratie et les principes de la justice sociale, garantit les libertés, libère les initiatives et œuvre sans relâche à la réalisation d'une renaissance économique, sociale et politique n'excluant personne et mettant à contribution toutes les parties de manière civilisée, en accord avec la personnalité de l'Algérien, empreinte de fierté, de tolérance et d'attachement à la justice et qui aspire à la paix civile». Tout en valorisant les efforts constructifs déployés par les membres de l'UGEL, le Président Bouteflika a ajouté que «l'Etat algérien souhaite voir les jeunes accorder un intérêt sérieux et conscient à la nécessité de maîtriser les connaissances scientifiques dans diverses spécialités et de faire preuve de sens de la responsabilité qui transcende les limites de l'intérêt personnel pour préserver les acquis de la Nation pour lesquels des femmes et des hommes ont sacrifié ce qu'ils avaient de plus précieux».
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MessageSujet: Abdelaziz Bouteflika s'engage à conduire de nouvelles réformes    Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeSam 19 Mar - 23:46

Le président Abdelaziz Bouteflika s'est engagé à mener de nouvelles réformes en Algérie, où la contestation politique et sociale née des révolutions tunisienne et égyptienne ne faiblit pas
Par Dépêche (texte) AFP - Le président Abdelaziz Bouteflika a promis samedi une "nouvelle page sur la voie des réformes globales", y compris politiques, a rapporté l'agence APS.

Après avoir évoqué la levée de l'état d'urgence, en vigueur depuis 19 ans, qu'il avait promise et mise en oeuvre le 25 février, le président, dans un discours lu en son absence à Mostaganem, à 350 kilomètres à l'ouest d'Alger, a déclaré qu'il fallait passer à la vitesse supérieure.

"Ce sera une nouvelle page ouverte sur la voie des réformes globales (...) qui ne sauront être fructueuses en l'absence de réformes politiques", a dit le président Bouteflika, dans ce texte lu par un de ses conseillers.

Ce discours a été lu lors d'une conférence marquant le 49e anniversaire de la proclamation du cessez-le-feu dans les combats d'indépendance contre la France, organisée dans la ville de Mostaganem
http://www.france24.com/fr/afrique
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MessageSujet: Les deux «marches» n'ont pas mobilisé    Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeDim 20 Mar - 18:37

par Mohamed Mehdi

Comme chaque samedi, depuis bientôt cinq semaines, Alger avait rendez-vous avec une «marche» pour réclamer le «changement démocratique». Et comme à chaque samedi, le dispositif de sécurité est tout aussi impressionnant.

Et comme chaque samedi également, le nombre des «marcheurs» ne cesse de dégringoler pour atteindre moins de 20 personnes, hier à Alger. Deux marches étaient annoncées à Alger pour la journée du 19 mars 2011 qui coïncide avec une date symbolique de l'histoire de l'Algérie, marquant la signature des Accords d'Evian et l'entrée en vigueur du cessez-le-feu en 1962. Sous un soleil printanier, la première marche devait «s'ébranler» de la Place du 1er Mai, à l'appel du CNCD-partis politiques, alors que la seconde était censée démarrer de la Grande Poste, à l'appel d'un mouvement de jeunes anonymes, lancé sur le réseau social Facebook.

Tôt le matin, le dispositif de sécurité vous accueille tout le long du parcours menant de Tafourah, de la Place du 1er Mai ou de la Place des Martyrs. Toutes les issues sont parsemées de centaines d'agents anti-émeutes, avec casques et matraques, de policiers en civil et des dizaines de véhicules et de camions. Pour empêcher tout regroupement, les accès à des espaces, comme le jardin/piétonnière faisant face à la Grande Poste étaient fermés par des haies métalliques. Il est 9h, heure à laquelle était prévue la marche des «jeunes anonymes», les dizaines de journalistes et de photographes attendent une quelconque manifestation. Les habitués de ces couvertures médiatiques, viennent plus tard. Contrairement à la Place 1er Mai, l'avantage de la Grande Poste c'est qu'il est possible de s'attabler à une terrasse de café tout en observant un éventuel mouvement de foule. Les policiers en civil traquent des yeux les moindres «suspects». «Vous faites quoi ici ?», demandent-ils à des passants ou des journalistes qui s'attardent sur les lieux.

A 10h30, toujours rien. «Les mamans n'ont pas dû réveiller nos petits jeunes» ou «on attend peut-être les croissants du matin», blague-t-on pour meubler le temps. Vers 11h, une foule de journalistes et de photographes se regroupe sur les escaliers de la Grande Poste, autour d'un jeune venu à l'appel lancé sur Facebook. «Je ne suis pas l'initiateur, mais je suis venu pour exprimer ma volonté pour le changement démocratique et pacifique en Algérie», lance ce jeune qui dit être membre du Groupe «Bezzaf». Quelques minutes plus tard, un autre apparaît arborant une pancarte demandant la libération du militant des droits de l'Homme de Ghardaïa, Mohamed Baba-Nadjar, accusé de meurtre. D'autres jeunes, cinq au total, commencent à scander des slogans : «Boudiaf khella oussaya, echabiba rahi djaya » (Boudiaf a laissé un testament, la jeunesse va arriver).

Selon un des initiateurs, « il y a au moins 40 personnes » à cette tentative de marche. Non loin de là, en plus de l'indifférence des passants, attablés sur la terrasse d'un café, deux militants/dirigeants d'un parti politique, ayant appelé à la marche de la CNCD-partis politiques, ne se mêlent pas à la foule.

La police tente de disperser calmement au début, avant de pousser énergiquement les quelques manifestants, parmi eux M. Azouaou, membre de l'Association des victimes d'Octobre 1988 (AVO 88), à quitter l'esplanade de la Grande Poste vers la périphérie (Tafourah), empêchant tout mouvement en direction de la rue Didouche Mourad. «Vous êtes trop nombreux, diminuez, diminuez le nombre de policiers », lance une voix provenant du talkie-walkie d'un officier de police. Scénario identique à la Place 1er Mai, où la marche, à laquelle participaient Me Ali Yahia Abdennour et quelques députés du RCD, a connu le même sort. Devant la très faible mobilisation, les policiers, en très grand renfort, ont pu mettre fin à cette 6e tentative du genre depuis le 19 février dernier.

En réalité, la seule «imposante marche» observée hier à Alger, c'était la file d'attente qui menait du guichet des retraits vers l'extérieur de la Grande Poste. Pas moins de 50 personnes faisaient la chaîne pour encaisser leurs chèques CCP.
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MessageSujet: Répondant à ceux «qui nourrissent des sentiments de rancœur et d’animosité à l’encontre de l’Algérie»   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeDim 20 Mar - 19:04

Par Hasna Yacoub

«On ne peut absolument pas comparer la situation de l’Algérie à celle d’aucun autre pays», a affirmé hier le président de la République dans un message adressé aux participants à une conférence célébrant la fête de la victoire à Mostaganem. Cette phrase, dite dans un contexte bien précis, celui des luttes menées par le peuple algérien depuis l’ère de la colonisation, a tout son sens en ces temps où se multiplient les analyses et les hypothèses prédisant, à l’ère de la révolte dans les pays arabes, une marée qui va emporter l’Algérie. Le chef de l’Etat poursuit en disant : «Il n’échappe à personne qu’en relevant l’immense défi durant les périodes d’occupation, de lutte et de révolution, notre peuple a acquis une haute stature, une grande fierté et un attachement sans borne à sa liberté, à sa souveraineté et à sa grandeur. Il lutte avec opiniâtreté à taire ses souffrances et à s’engager, corps et âme, dans le combat face aux épreuves. Il en sort, chaque fois, plus confiant, plus conscient des réalités et plus fort pour affronter les défis.» Se voulant encore plus clair, le chef de l’Etat a dit : «En dépit des commentaires des uns et des autres quant à la fidélité des Algériens dépositaires du legs des chouhada et des moudjahidine qui ont consenti d’énormes sacrifices, il demeure que la ligne générale adoptée par l’Etat algérien moderne est puisée dans la Déclaration du 1er Novembre et ses documents fondamentaux.» Quant au changement, le président de la République précise que «la question du changement et de la réforme était l’une des bases essentielles sur lesquelles ont été arrêtés les différents programmes mis en œuvre depuis plus d’une décennie». Il explique ensuite que tous les programmes quinquennaux qui se sont succédé et ont englobé les réformes administrative, judiciaire, financière et autres domaines n’ont été qu’un prélude à la réforme globale visant à changer l’image de l’Algérie dans tous les domaines. C’est donc de Mostaganem et à travers un message lu en son nom par son conseiller, le jour de la fête de la victoire, que le chef de l’Etat a décidé de répondre aux «commentaires des uns et des autres» et d’annoncer de prochaines réformes plus profondes qui vont «changer l’image de l’Algérie». En affirmant que tous les changements opérés jusque-là n’ont été qu’un prélude, le Président a explicitement et formellement fait part des grandes mutations qui vont s’opérer prochainement dans tous les domaines, notamment sur le plan politique. En effet, comme l’a assuré le Président, «[…] une nouvelle page ouverte sur la voie des réformes globales que j’ai citées, et qui ne sauront être fructueuses en l’absence de réformes politiques. Ainsi, l’édification matérielle en cours de réalisation va sans nul doute de pair avec l’édification politique qui vise la construction d’un pays fort, d’un Etat fort avec des citoyens forts». Abdelaziz Bouteflika a assuré que «toutes ces démarches [sont] appelées à s’élargir davantage avec l’avancement de la mise en exécution du programme quinquennal actuel» et qu’elles «sont pour nous une occasion historique pour réaliser l’ensemble de nos aspirations». Des ambitions réalisables aujourd’hui grâce «à la sécurité et à la stabilité ainsi qu’aux recettes pétrolières du pays». Allant dans le détail, le chef de l’Etat a explique que la liberté du peuple algérien «payée de son sang» est perceptible aujourd’hui à la faveur du pluralisme médiatique, politique et parlementaire. «Une liberté que nous œuvrons sans cesse à ancrer et approfondir, avec tout ce que cela implique comme défis actuels et futurs, afin d’assurer la sécurité et la stabilité et de réaliser le développement socio-économique dans tous les domaines», a-t-il assuré, ajoutant que cette liberté ne saurait être totale que par l’instauration d’une justice sociale quant aux besoins sociaux pressants tels que le logement, l’emploi, l’enseignement, la santé, les activités culturelles et les loisirs. Affirmant que l’Algérie peut s’enorgueillir de ses réalisations dans ces domaines, le président Bouteflika a indiqué que l’Etat est aujourd’hui plus que jamais attaché à réaliser un développement global et diversifié pour mettre fin à la culture de dépendance aux autres pays qui n’hésitent pas à se livrer à la manipulation du marché interne par la spéculation, le monopole et la pénurie et en incitant fraudeurs et usuriers à mettre en péril la sécurité des peuples et à les entraîner dans un engrenage de violence dévastatrice. En s’adressant à la jeunesse, le chef de l’Etat commence par s’engager à prendre en charge cette catégorie autant que les catégories sociales vulnérables, avant d’exprimer un souhait : «L’indépendance née de la révolution armée doit rester une doctrine pour les Algériennes et Algériens et un acquis qu’ils doivent défendre non pas à travers la glorification du passé, mais par la mobilisation des énergies, notamment en milieu de jeunes, la sauvegarde du legs culturel et révolutionnaire de notre peuple, l’unification des rangs et l’attachement aux idéaux afin de barrer la route à tous ceux qui nourrissent des sentiments de rancœur et d’animosité à l’encontre de notre pays.» Pour aller vers ce développement et ces changements tant souhaités, il faut, insiste le Président, «discernement, sérénité et perspicacité afin que cette approche de développement aux dimensions et objectifs multiples porte ses fruits et afin de nous permettre de barrer la route à ceux qui sont à l’affût de toute situation de crise». L’Etat continuera d’œuvrer à la réunion de tous les facteurs favorisant le développement et le progrès et à la prise en charge des préoccupations sur tous les plans (investissement, chômage, formation professionnelle, insertion des diplômés, concept des postes provisoires et des indemnités…), a assuré Abdelaziz Bouteflika qui a conclu que «la levée de l’état d’urgence est un pas nouveau franchi par le pays sur la voie de l’élimination de toutes les conséquences induites lors des années noires mais aussi une nouvelle page ouverte sur la voie des réformes globales que j’ai citées, et qui ne sauraient être fructueuses en l’absence de réformes politiques».
http://www.latribune-online.com/evenement/49132.html
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MessageSujet: Algérie: mobilisation en chute à la marche hebdomadaire de la CNCD   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeSam 26 Mar - 18:24

il y a 3 heures 24 min
La Coordination nationale pour le changement démocratique (CNCD) a de nouveau échoué samedi à attirer nombre de sympathisants pour sa manifestation hebdomadaire à Alger, ne regroupant qu'une cinquantaine de personnes sur la place du 1er-Mai, a-t-on constaté sur place.

Le dispositif policier n'a pas eu de difficulté à contenir les manifestants, qui scandaient les mots d'ordre habituels "Algérie libre et démocratique", "pouvoir y en a marre" ou encore "la jeunesse au pouvoir".

Fidèle à lui-même, le vieux militant des droits de l'Homme et président d'honneur de la Ligue de défense des droits de l'Homme, Ali Yahia Abdenour, a tenu à être présent, sans toutefois cacher sa déception devant la faible mobilisation. On recensait quelques députés du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), ainsi que des responsables du Parti laïc démocratique (PLD) et du Mouvement démocratique et social (MDS).

"Le pouvoir empêche de s'exprimer les forces qui revendiquent le changement politique pacifique, alors qu'il multiplie les concessions contre les casseurs", a dénoncé le syndicaliste estudiantin Massine Aouili dans une allusion aux troubles quotidiens qui éclatent un peu partout en Algérie et face auxquels le gouvernement d'Ahmed Ouyahia a opté pour la politique de la carotte par crainte d'un soulèvement généralisé.

Née dans la foulée des émeutes juvéniles du mois de janvier, la CNCD, qui a connu entre temps une scission entre partisans des partis politiques et partisans de la société civile, a donc échoué pour la septième fois depuis le 12 février à organiser une marche à Alger. Au fil des samedis, la mobilisation s'est effilochée pour se réduire à quelques dizaines de manifestants, vite dispersés par la police. AP

http://fr.news.yahoo.com/3/20110326/twl-algerie-opposition-manifestation-d407853.html
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MessageSujet: Alger: La marche de la CNCD encore une fois empêchée    Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeDim 3 Avr - 15:36

par Salah-Eddine K.

Cela fait près d'un mois et demi que la Coordination nationale pour le changement démocratique (CNCD) essaie d'organiser des marches à travers la capitale, mais sans succès.

Essoufflement et lassitude sont les signes apparents que présente le mouvement. L'appel aux marches à travers la capitale ne trouve pas d'écho. Hier, à la place du 1er Mai à Alger, lieu supposé du démarrage de la marche jusqu'à la place des Martyrs, à l'autre bout de la ville, seuls quelques membres de la CNCD dont le principal animateur Ali Yahia Abdenour, se sont retrouvés face au grand jet d'eau de cette placette. Ils étaient encadrés par les agents de l'ordre dont la présence sur les lieux était plutôt discrète. Les camions de transport des brigades anti-émeutes n'étaient pas visibles. Dès 10 h du matin, le dispositif sécuritaire était en place et les policiers étaient positionnés pratiquement sur toutes les principales artères avec consigne de ne permettre aucun attroupement. Des policiers ont encerclé la poignée des membres de la coordination sans trop de complications.

Sous un soleil de plomb, et des sifflets des agents de la circulation, les militants de la Coordination pour le changement arrivaient avec peine à se faire entendre avec quelques pancartes à peine visibles. Les mots d'ordre habituels «Changer le système et non pas changer les hommes» ou «Système dégage» sont brandis sans susciter la curiosité des passants qui vaquaient tranquillement à leurs affaires. Aux environs de 11h30, les membres de la CNCD commençaient à se disperser.

La CNCD a décidé, selon une source de sa coordination, «d'implanter le mouvement partout au niveau du territoire national» et d'établir un bilan d'actions depuis son avènement. Une conférence de presse est à ce effet prévue dans la semaine.
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5151279
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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeVen 15 Avr - 21:06

Algérie : Bouteflika va réviser la Constitution pour 'renforcer la démocratie'

Son discours à la nation était très attendu par le peuple algérien. Le président Abdelaziz Bouteflika a annoncé, vendredi 15 avril, dans une allocution télévisée, une prochaine révision de la Constitution en vue de 'renforcer la démocratie'. 'Pour couronner l'édifice institutionnel visant à renforcer la démocratie, il importe d'introduire les amendements nécessaires à la Constitution' de 1996, a affirmé le dirigeant algérien dans un discours à la nation de vingt minutes.

Les attentes des Algériens étaient d'autant plus fortes qu'il s'agissait du premier discours présidentiel adressé au peuple depuis que le pays est agité par de nombreux mouvements sociaux. En janvier, des émeutes avaient fait cinq morts et huit cents blessés.

UNE REFONTE DES RÈGLES ÉLECTORALES

'J'ai exprimé, à maintes reprises, ma volonté de faire réviser la Constitution', a rappelé Abdelaziz Bouteflika, en annonçant la création d'une commission constitutionnelle 'à laquelle participeront les courants politiques agissants et des experts en droit constitutionnel'. La commission 'me fera des propositions dont je m'assurerai de la conformité avec les valeurs fondamentales de notre société, avant de les soumettre à l'approbation du parlement ou à vos suffrages par la voie référendaire', a-t-il expliqué.

Il a également annoncé une 'révision profonde' de la loi électorale pour permettre aux Algériens d''exercer leur droit dans les meilleures conditions, empreintes de démocratie et de transparence'. Les partis politiques, qu'ils soient représentés ou non à l'Assemblée nationale, seront associés à la révision de cette loi, a assuré le chef de l'Etat. La loi sur les partis sera elle aussi révisée. Elle permettra, a dit M. Bouteflika, une contribution 'plus efficace de ces partis au processus de renouveau du pays'.... Le Monde.fr

http://fr.news.yahoo.com/64/20110415/twl-algrie-bouteflika-va-rviser-la-const-acb1c83.html
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MessageSujet: Re: Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)   Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait) I_icon_minitimeVen 15 Avr - 21:16

çà c'est une très bonne chose l'algerie bouge cheers cheers algeri10 il y a encore du boulot mais çà avance
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Bouteflika promet de lever l'Etat d'Urgence !(c'est fait)

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