Sujet: force spéciale de la marine chinoise Mer 17 Aoû - 14:49
force spéciale de la marine chinoise
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Quand Séoul formait les Ninjas algériens
1991. L’ANP se prépare à livrer une guerre contre le GIA et les autres organisations terroristes. La lutte antiterroriste est un concept assez vague chez les professionnels de la sécurité, et le MDN ne dispose pas de troupes d’élite dans le domaine. Les contacts entamés avec les partenaires traditionnels pour la formation des cadres antiterroristes et des éléments d’élite de l’armée, les commandos d’intervention, tournent court. Les Russes traversent une crise interne et les Spetsnaz, les commandos russes, n’ont pas encore découvert le terrorisme en Tchétchénie.
L’Italie, qui accepte des stagiaires, offre davantage une formation pour les escortes policières, calquées sur les brigades antimafia, qu’une formation militaire et antiterroriste de pointe. Les pays arabes, tels que la Jordanie et l’Égypte, ont des méthodes é***ées et n’offrent pas le support technologique de base à une formation de commando antiterroriste. Alors que les éléments des commandos algériens commencent déjà à ratisser les maquis de Lakhdaria, sans formation spécifique à l’antiterrorisme urbain, seule la Corée du Sud accepte de prendre en charge la formation de jeunes officiers d’élite algériens pour les initier aux techniques modernes de combat.
Ainsi, rapidement, un groupe d’officiers atterrit à Séoul pour une formation accélérée. C’est le premier contingent de spécialistes de l’antiterrorisme. Quelques mois plus tard, ce sont eux qui débarqueront dans l’immeuble de la rue Charras pour arrêter les deux dirigeants de l’ex-FIS, Abassi Madani et Ali Benhadj, lors d’une opération éclair et sans bavures. Jeans, trainings, pistolets-mitrailleurs et cagoules noires, ce sont les premiers Ninjas.
Au fait, les Algériens vont se familiariser avec ce terme qui désigne pêle-mêle les éléments d’intervention de l’armée, de la police et de la Gendarmerie nationale. Mais les seuls Ninjas “homologués” sont ceux des corps d’élite des services secrets. La crème de la crème de l’intervention qui, face à eux, le GIGN français s’apparente à des amateurs. Et pour cause. Ces officiers ont appris en Corée du Sud des techniques sophistiquées et révolutionnaires que seuls les Sud-Coréens dispensent à tous les pays. Même le FBI américain y a envoyé ses troupes antiterroristes pour s’ aguerrir. C’est la qualité des commandos d’élite de ce qu’on appelle communément les “Kook Sool” en Corée du Sud, qui a fait leur réputation mondiale. On dit qu’ils sont capables de tuer avec des techniques d’arts martiaux, dont la fameuse “clé coréenne” et ont des résultats remarquables dans l’entraînement pour les tireurs d’élite. La qualité de l’entraînement dans les bases de l’armée sud-coréenne est telle que les spécialistes soulignent qu’un commando sorti de leurs écoles ne peut pas mourir en opération.
Surentraînés, les Kook Sool ont formé des militaires algériens dès les premières heures de l’antiterrorisme, ce qu’aucun pays considéré comme “ami” de l’Algérie n’a fait au plus fort de la crise sécuritaire algérienne. C’est le 707 bataillon des missions spéciales qui assure cette formation plus connue sous le sigle de Roka Socom, sous la supervision du NIS (National Intelligence Service). À Séoul, la réputation des “Bérets noirs” a dépassé les frontières. Ils ont assuré avec succès la sécurisation d’événements planétaires comme les Jeux olympiques en 1988 et la Coupe du monde de football en 1992. Confrontés aux troupes spéciales nord-coréennes, les Kook Sool ont fait leurs preuves. À signaler également que la Corée du Sud est le leader mondial de la lutte contre le cyber-terrorisme.
Sujet: Re: Arts martiaux militaires Mer 17 Aoû - 18:34
bon sujet air-force,
وحدات الكوكسول بالجيش الجزائري .. Algerian kuk sool units
DSI Adjudant
Sujet: Re: Arts martiaux militaires Mar 13 Sep - 20:56
Close-combat, l’art martial des militaires
Citation :
Le close-combat, ou combat rapproché, est une méthode de combat spécifique aux militaires appelés à devoir, au cours de missions de contact, soit préserver leur peau, soit menacer celle de l’ennemi, le plus souvent sans apport d’autres armes que poignards et mains nues.
Le militaire au combat traitera son ennemi avec la même délicatesse que celui-ci lui réserve.
Le close combat n’est pas une philosophie sympa. Celui qui est en face de toi voudra souvent ta peau. Les adversaires ne se saluent pas, ils ne s’estiment pas, ils ne se font aucune promesse de loyauté et de droiture. Le seul respect sera celui imposé par le plus fort, le plus brutal et le plus définitif parfois. Ce corps à corps de soldats emprunte aux autres disciplines, judo, boxe, karaté et autre kung-fu, le meilleur et de pire des recettes de combat rapproché avec un nécessaire taux d’agressivité élevé.
La mission
Ruse, souplesse, rapidité, force, perversité, tout y est combiné pour une recherche d’effet maximum, la neutralisation temporaire ou définitive d’un adversaire qui nous aura surpris ou que nous aurions à surprendre. La gentillesse, au combat, n’existe pas, il faut être celui qui vaincra vite et souvent avec une exigence de silence dont la garantie sera un des effets recherchés. Pas le temps de demi-mesure, on n’étrangle pas à moitié de même qu’on ne se laisse pas étrangler à moitié, c’est du tout ou du rien. Du tout si je veux sortir vainqueur ; alors je libère toutes les foudres dont je suis capable et l’acte devra, pour aboutir, être servi par le plus haut degré d’agressivité dont je suis capable. Du rien ; alors ce pourrait être l’esquive pour mieux frapper ensuite, voire abandonner la cible sans, valable pour les deux cas, compromettre la mission
L’entraînement est primordial
Pour une efficacité maximum, la seule tolérée en terme de résultat, il faudra répéter le geste des centaines puis des milliers de fois pour qu’il devienne, avec toute une collection de gestes de combat, l’arme redoutable d’un réflexe dont le soldat ne se départira jamais. La préparation est douloureuse, les conditions doivent coller à la réalité, combats en zone urbaine, aquatique, désertique, aux conditions extrêmes de températures, de fatigue et de stress. Ce stress d’une intensité terrible avec ses jets d’adrénaline singuliers au moment ou l’homme devient prédateur par la volonté du législateur