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 décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée

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MessageSujet: décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée    décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitimeLun 13 Fév - 13:16

Citation :
L'ancien homme fort de l'armée algérienne, le général à la retraite Mohamed Lamari est décédé lundi à Biskra (420 au sud d'Alger), selon une source gouvernementale.
décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  38298915743141


Le général Lamari est mort d'une crise cardiaque à l'hôpital de Tolga, près de Biskra, où il avait été admis à la suite d'un malaise, a indiqué cette source confirmant une information du quotidien arabophone Ennahar sur son site internet.

Cet ancien officier de l'armée française, formé à l'accdémie militaire de Moscou, avait nommé chef d'état-major de l'armée algérienne en 1993 au moment où les violences des groupes islamistes armés étaient à leur paroxysme en Algérie.

Le général Lamari a démissionné en août 2004 de son poste de chef d'état-major de l'armée, trois après l'élection du président Abdelaziz Bouteflika pour un deuxième mandat.

Dans le cercle très restreint des « décideurs » militaires algériens, Mohamed Lamari tenait une place à part : celle du « patron » de l’armée dans un pays où une poignée de généraux a toujours détenu la réalité du pouvoir. Nombre d'observateurs à Alger avaient vu alors dans son départ l'opportunité pour le chef de l'Etat de conforter sa position face à l'armée, considérée 40 ans durant comme la véritable détentrice du pouvoir en Algérie, imposant traditionnellement son candidat à la présidence de la République.

Sa démission était considéré comme une victoire pour Bouteflika et son clan. Le général Lamari a pesé de tout son poids pendant une décennie sur la vie politique de l'Algérie.

Né en juin 1939 à Alger, Mohamed Lamari avait tout d'abord exercé les fonctions de commandant de la 5e région de Constantine (nord-est), avant de devenir commandant en chef des forces terrestres.

Il occupa cette fonction jusqu'en 1992, date à laquelle il devint pour quelques mois le conseiller du ministre de la défense de l'époque, Khaled Nezzar.

En septembre de la même année, il prit la tête d'un corps spécial anti-terroriste formé des élites de l'armée, de la gendarmerie et de la police chargé de la lutte contre les islamistes armés, jusqu'à sa nomination au poste de chef d'Etat-major de l'armée.
http://www.atlasinfo.fr/Algerie-deces-du-general-Mohamed-Lamari-ancien-homme-fort-de-l-armee_a25680.html

Allah yerhamou
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MessageSujet: le parcours du général Mohamed Lamari et médailles reçu   décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitimeLun 13 Fév - 19:03

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MessageSujet: Le général qui a osé dire non à Bouteflika   décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitimeMar 14 Fév - 11:54

Le général qui a osé dire non à Bouteflika

Avec la disparition du général Mohamed Lamari, c’est une page à la fois sombre et riche en rebondissements de l’histoire récente de l’Algérie qui est tournée. Dans sa gestion opérationnelle de la lutte antiterroriste durant la décennie noire, sous différentes casquettes militaires, Mohamed Lamari avait surtout brillé par ses coups de sang et ses déclarations décapantes contre la conduite politique de la lutte.

Citation :
Et, dans ce champ de bataille, le général avait pour cible privilégiée : Abdelaziz Bouteflika. Les deux hommes ne s’appréciaient pas, et c’est un euphémisme. Mohamed Lamari a accepté à contrecœur que l’armée adoube, en 1999, Abdelaziz Bouteflika en tant que «candidat du consensus» comme ce dernier le désirait. Les deux hommes avaient des conceptions diamétralement opposées de la situation. Si Bouteflika était et est encore convaincu qu’il fallait faire le dos rond aux islamistes, Lamari, lui, était partisan d’une ligne dure qui ne transigeait pas avec le cadre républicain de l’Etat.

Cette guerre sourde entre le chef d’état-major de l’armée et son ministre de la Défense et néanmoins président de la République allait pourtant se déclarer sur la place publique. Les bureaux des Tagarins ne suffisaient plus à cet homme à l’allure martiale et au regard révolver pour dire ses vérités. Fraîchement élu, Abdelaziz Bouteflika lance un premier coup de sommation : «L’arrêt du processus électoral était une première violence !», à contre-courant de ce que pensent ceux-là mêmes qui l’ont intronisé. Puis il enchaîne plus tard par un cinglant : «Je ne veux pas être un trois-quart de Président !», à l’attention des décideurs militaires, à leur tête le général Lamari. Lors d’un crochet au port d’Alger, Bouteflika pousse également un coup de sang contre ces «14 généraux qui contrôlent l’import-import».


Allure martiale, regard revolver


La visite dure cinq minutes, mais la balle n’a pas raté sa cible. Le général Lamari, jusque-là soldat discipliné et droit dans ses bottes, n’en peut plus d’essuyer tant de critiques publiques de la part du chef de l’Etat qu’il a aidé, malgré lui, à prendre les clés du palais d’El Mouradia.
Juillet 2002. Le général entame sa riposte via une conférence de presse qu’il convoque dans l’enceinte de l’Académie militaire interarmes de Cherchell (Amia).

Une première pour un haut gradé de l’armée, qui fait ainsi irruption dans le débat politique. «Le mal que notre pays a rencontré, c’est l’ANP. Même la catastrophe de Bab El Oued (novembre 2001, ndlr), c’est l’ANP. Si ces accusations viennent de l’étranger, de milieux hostiles, qu’elles soient les bienvenues. Mais cela vient des Algériens eux-mêmes qui, par méconnaissance, par intérêt ou par calcul politicien, mettent tout sur le dos de l’armée. Pour être connu, il faut insulter les généraux et l’armée. Nous avons été traités de voleurs, de tueurs et il ne manquait plus qu’à dire que l’ANP a été importée.» Le général Lamari en avait visiblement gros sur le cœur de subir tant d’attaques frontales.

Les relations très tendues entre les deux hommes vont se compliquer encore à partir de 2003. Image saisissante : lors de la cérémonie marquant la commémoration du 41e anniversaire de l’indépendance au MDN, on aperçoit le général de corps d’armée bavardant avec les journalistes pendant que le Président décorait les officiers. Malgré le discours plutôt rassurant de Bouteflika qui promettait de protéger l’armée, Lamari a préféré garder ses distances, à une année de la présidentielle. Pour lui, la messe est dite ; il ne cautionnera jamais un deuxième mandat pour Bouteflika. Mais avant cette cérémonie, le général s’était longuement expliqué, le 18 juin 2003, dans les colonnes du journal égyptien Al Ahram.


Solde de tout compte


Cet entretien est en quelque sorte le solde de tout compte d’un soldat qui veut mourir les armes à la main. Tout au long de ses réponses, Lamari décline un contre-projet à celui de Bouteflika et met en relief le «sacrifice» de ses troupes. Sur l’arrêt du processus électoral, le général Lamari parle de «la fin d’un processus suicidaire» quand Bouteflika le qualifiait de «mère de toutes les violences». «L’interruption du processus électoral de 1991 n’est pas une violence contre la démocratie, comme l’avait affirmé M. Bouteflika, mais une sauvegarde des institutions républicaines au moment où l’islamisme était dangereux. Et nous l’avons fait», tranche Lamari.


Ultime bataille perdue


Et de jeter la pierre dans le jardin du Président, l’accusant de saper politiquement la lutte antiterroriste : «La lutte antiterroriste ne se limite pas aux efforts de l’armée et des autres services de sécurité, mais doit être soutenue par un discours politique et une mobilisation populaire. Si c’est le cas, on réussira. Autrement, on vivra dans la souffrance.»
Une attaque en règle qui sonne le branle-bas de combat du général contre le deuxième mandat de Bouteflika. Interrogé sur la présidentielle d’avril 2004, Lamari tranche dans le vif : «Cette fois, l’armée est prête à accepter un président islamiste, même si c’est

Djaballah, à condition qu’il respecte la Constitution et les lois de la République !» Le message est limpide dans la bouche du général : il n’est pas question de reproduire «l’erreur» de Bouteflika en 2004.
C’est ainsi qu’il lance dans l’arène Ali Benflis, le chef de gouvernement de Bouteflika, pour un duel fratricide inédit dans les annales politiques algériennes. Mais le général, qui pensait bien maîtriser ses troupes, s’est rendu compte qu’il n’était pas dans la confidence. Lamari a fini par comprendre que la victoire de Bouteflika était un «tir ami». En bon soldat, le général a rendu les armes au soir de la réélection de Bouteflika et s’en est allé sur la pointe des pieds prendre son repos du guerrier après avoir perdu son ultime bataille
http://www.elwatan.com//actualite/le-general-qui-a-ose-dire-non-a-bouteflika-14-02-2012-158960_109.php
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MessageSujet: Le général Mohamed Lamari inhumé hier au cimetière de Ben Aknoun   décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitimeMer 15 Fév - 17:27

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Citation :

Décédé lundi dernier à l’âge de 73 ans d’un arrêt cardiaque, le général de corps d’armée, en retraite depuis 2004, a été inhumé, hier après-midi, au cimetière de Ben Aknoun, sur les hauteurs d’Alger.


L’enterrement a eu lieu en présence d’une assistance nombreuse, composée des membres de sa famille, de ses proches et de hauts responsables politiques et militaires. En effet, tout le pouvoir ou presque a fait le déplacement pour rendre un dernier hommage à l’une des personnalités influentes du régime qui a marqué l’histoire de l’Algérie ces vingt dernières années. Tous les hauts responsables militaires, actuels et anciens, étaient présents. Le ministre délégué à la Défense nationale, Abdelmalek Guenaïzia, le chef d’état-major Gaïd Salah, le général Mohamed Touati ainsi que les généraux à la retraite Khaled Nezzar et Abdelhamid Djouadi ont tenu à accompagner Mohamed Lamari à sa dernière demeure. Même l’invisible général Toufik était là. A son apparition, les agents de police, présents en force, ont empêché les photographes de presse de prendre des photos.

«Pas de photos ! Pas de photos», ont-ils lancé à l’adresse des nombreux reporters postés à l’entrée du cimetière, dont le portail a été d’ailleurs fermé. Seuls les officiels ont été autorisés à y accéder.
Les responsables du gouvernement, en particulier le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, le vice-Premier ministre, Noureddine Yazid Zerhouni, et le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia étaient parmi les premiers à arriver sur les lieux. Ils ont été suivis par les présidents du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah, de l’APN Abdelaziz Ziari et du Conseil constitutionnel Boualem Bessaieh. Des personnalités politiques nationales, dont les anciens chefs de gouvernement, Mouloud Hamrouche, Belaïd Abdesselam, Rédha Malek et Mokdad Sifi, ont fait aussi le déplacement. Les obsèques se sont déroulées également en présence des responsables de partis politiques et d’une foule d’anonymes. L’on a remarqué en revanche, l’absence de l’ex-candidat à l’élection présidentielle de 2004, Ali Benflis.

Dans une déclaration à l’APS (les journalistes de la presse écrite n’ont pas été autorisés à entrer dans le cimetière), le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, affirme que «l’Algérie a perdu, avec le décès de Mohamed Lamari, un patriote sincère et un nationaliste convaincu». «Le défunt était un homme doté d’une grande qualification, un intellectuel et un organisateur avéré. Au niveau de l’armée, il avait réalisé de très grandes œuvres dans la lutte contre le terrorisme (...) et il a marqué de son empreinte une bonne génération d’officiers de l’Armée nationale populaire», déclare-t-il.

Pour sa part, l’ancien ministre de la Défense et général à la retraite, Khaled Nezzar, indique que le défunt était connu pour son dévouement dans son travail au niveau de tous les postes de responsabilité qu’il a eu à assumer au sein de l’institution militaire, mettant en exergue son rôle dans la lutte contre le terrorisme et dans la restauration de la paix et de la sécurité dans le pays : «C’était un enfant de l’Algérie qui avait assumé son rôle en tant qu’Algérien.»
Le général-major à la retraite, Abdelhamid Djouadi, ami proche du défunt, précise que Mohamed Lamari était un homme «très appliqué, intelligent, rationnel et plein de sagesse. Il était un grand patriote qui a donné à l’Algérie le meilleur de lui-même et qui s’opposait à toute forme d’extrémisme».
http://www.elwatan.com//actualite/le-general-mohamed-lamari-inhume-hier-au-cimetiere-de-ben-aknoun-15-02-2012-159078_109.php
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MessageSujet: Re: décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée    décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitimeMer 15 Fév - 18:39

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MessageSujet: ALGERIAGOV:"L'enterrement de Mohamed Lamari "    décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitimeJeu 16 Fév - 19:39

ALGERIAGOV:"L'enterrement de Mohamed Lamari "

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MessageSujet: Re: décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée    décès du général Mohamed Lamari, ancien homme fort de l'armée  I_icon_minitime

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