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 actualités palestiniennes (économies politiques militaire )

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MessageSujet: actualités palestiniennes (économies politiques militaire )    actualités palestiniennes (économies politiques militaire )  I_icon_minitimeLun 31 Oct - 19:25

Palestine à l'UNESCO: les Etats-Unis coupent le financement
Les Etats-Unis coupent le financement de l'UNESCO, ce qui représente 22% du budget total de l'agence des Nations unies pour la culture, suite à l'admission de l'Etat palestinien, a annoncé lundi à Washington la porte-parole du département d'Etat américain Victoria Nuland.

"Les Etats-Unis ne verseront pas leur prochaine cotisation de 60 millions de dollars à l'UNESCO. Le vote de ce lundi a été prématuré, il empêche d'atteindre notre objectif commun de rétablir la paix au Proche-Orient", a indiqué Mme Nuland lors d'un point presse.

Washington devait verser 60 millions de dollars à l'UNESCO avant fin novembre.

L'Autorité palestinienne est devenue lundi membre à part entière de l'UNESCO, 107 participants de la 36e Conférence générale de l'organisation ayant voté en faveur de l'adhésion.

Composé des versements des pays membres, le budget de l'UNESCO est adopté au cours de la conférence générale bisannuelle de l'agence. Le budget de l'UNESCO pour 2010-2012 se chiffre à 653 millions de dollars dont 22% sont pris en charge par les Etats-Unis, 12,5% par le Japon, 8% par l'Allemagne, 6,6% par la Grande-Bretagne et 6,1% par la France.
http://fr.rian.ru/world/20111031/191757726.html

La Palestine devient membre de l'Unesco, les USA répliquent
La Palestine a fait un pas vers la reconnaissance internationale qu'elle appelle de ses voeux en devenant lundi membre à part entière de l'Unesco.

La demande d'adhésion de l'Autorité palestinienne à l'Organisation des Nation unies pour l'éducation, la science et la culture, où elle jouissait jusqu'à présent d'un statut d'observateur, a été validée au siège de l'organisation à Paris, par 107 voix contre 14 et 52 abstentions. Douze Etats n'ont pas participé au vote.

La Palestine devient ainsi le 195e membre de l'Unesco. Après plus de 60 ans de conflit israélo-palestinien, elle rêve maintenant d'être admise au sein de l'Organisation des Nations unies, où sa requête risque cependant de se heurter au veto des Etats-Unis.

"La victoire d'aujourd'hui à l'Unesco est le début d'une route difficile mais elle mènera à la liberté de notre terre et de notre peuple", s'est félicité le chef de la diplomatie palestinienne, Riyad al Malki.

L'Unesco devient la première agence des Nations unies à accueillir la Palestine, ce qui suscite des réticences, notamment de la part d'Israël et des Etats-Unis.

Peu de temps après le vote, Washington, qui assure 22% du budget de l'Unesco, a annoncé la suspension de sa contribution financière en raison de l'admission de l'Autorité palestinienne.

La législation américaine ne laissait pas d'autre possibilité, a souligné Victoria Nuland, porte-parole du département d'Etat, ajoutant que le versement de 60 millions de dollars prévu en novembre n'aurait pas lieu. Jay Carney, porte-parole de la Maison blanche, avait jugé, lui, l'initiative "prématurée".

L'Etat hébreu souligne que ce vote ne fera avancer en rien le processus de paix.

L'ambassadeur d'Israël auprès de l'agence culturelle de l'Onu, Nimrod Barkan, a qualifié le vote de "tragédie pour l'Unesco". "Il n'y a pas d'Etat palestinien et, par conséquent, il ne fallait pas en admettre l'adhésion", a-t-il ajouté. "L'Unesco s'occupe de science, pas de science-fiction, et elle a pourtant accepté aujourd'hui une réalité de l'ordre de la science-fiction."

Le gouvernement israélien n'a pas tardé à réagir négativement au vote.

"Il s'agit d'une manoeuvre palestinienne unilatérale qui n'apportera aucun changement sur le terrain, mais hypothèquera un peu plus les chances de parvenir à un accord de paix", écrit le ministère israélien des Affaires étrangères dans un communiqué.

"Cette décision ne fera pas de l'Autorité palestinienne un Etat à part entière et place de nouveaux obstacles sur la voie de la reprise des négociations", ajoute-t-il.

PARIS "PREND SES RESPONSABILITÉS"

La France a voté pour l'adhésion, alors qu'elle s'était abstenue lors d'un vote antérieur au Conseil exécutif, préalable au vote final.

"A partir du moment où la question est posée aujourd'hui, il nous faut prendre nos responsabilités et répondre sur le fond", avait déclaré le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères juste avant le vote.

"Et sur le fond la France dit oui, la Palestine a le droit de devenir membre de l'Unesco, cette organisation dont la vocation est d'oeuvrer à la généralisation d'une culture de la paix au sein de la communauté internationale", avait-il ajouté.

Le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine ont également approuvé son entrée.

Les Etats-Unis, le Canada et l'Allemagne ont voté contre. Le Royaume-Uni s'est abstenu. le vote s'est achevé sous les applaudissements.

L'ambassadeur américain auprès de l'Unesco, David Killion, a simplement déclaré ensuite que la capacité des Etats-Unis à soutenir l'Unesco allait se "compliquer".

"Le vote d'aujourd'hui qui accorde le statut de membre aux Palestiniens ne se substitue pas à des négociations directes et va porter fortement préjudice à l'Unesco", a estimé pour sa part l'ambassadrice américaine à l'Onu, Susan Rice, dans un message diffusé sur son compte Twitter.

Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a déposé officiellement le 23 septembre une demande d'adhésion pleine et entière à l'Organisation des Nations unies.

Le Conseil de sécurité, où Washington détient un droit de veto, est le seul habilité à autoriser semblable demande et les Américains ont fait savoir qu'ils utiliseraient selon toute vraisemblance cette arme pour bloquer la demande palestinienne.

Mais l'Unesco était accessible aux Palestiniens quel que soit leur statut au sein de l'Onu en général. Le conseil exécutif de l'agence culturelle des Nations unies avait décidé début octobre que ses membres se prononceraient sur la demande d'adhésion palestinienne par un vote, ce qu'ils ont fait lundi à Paris.

Avec Andrew Quinn et Susan Cornwell à Washington; Jean-Philippe Lefief et Benjamin Massot pour la version française

http://fr.news.yahoo.com/la-palestine-devient-membre-lunesco-les-usa-répliquent-191628082.html
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MessageSujet: FIN DU CYCLE DÉDIÉ À LA PALESTINE À ALGER   actualités palestiniennes (économies politiques militaire )  I_icon_minitimeLun 5 Mar - 12:28

La maladie de l'espoir...

actualités palestiniennes (économies politiques militaire )  P12030401


on peut dire que cette photo est assez significatif
Citation :
L'institut français a clôturé la semaine dernière son cycle cinématographique dédié à la Palestine par deux intéressants documentaires signés du réalisateur français Dominique Dubosc.

Palestine, Palestine et Réminiscence d'un voyage en Palestine ont été projetés en présence de leur réalisateur qui s'est évertué à raconter la genèse de son travail, tout en décrivant la situation catastrophique des Palestiniens qui n'a pas changé d'un iota. Ces films achevaient tout un cycle de films dédié à la Palestine dont le fameux Le temps qu'il reste d'Elia Suleiman, lequel a été diffusé à Alger, exclusivité pour rappel en 2009 par l'Association A nous les écrans lors des journées cinématographiques d' Alger et en 35 mm svp!. Un film qui méritait d'être vu et revu. Palestine, Palestine réalisé en 2001 retrace le quotidien d'un couple marionnettiste qui va de village en village, tentant de faire retrouver le bonheur dans un pays occupé depuis des décennies. Le réalisateur se souvient que ne supportant pas ce qu'il voyait dans les médias il décide de partir en Palestine, sur impulsion, au deuxième jour de l'intifada. «égoïstement, je souffrais moins en quelque sorte en étant là-bas...». Ce film, le réalisateur l'a conçu comme un triptyque dont la partie centrale est la Palestine entourée de néant ou de paysages de désolation, de temps mort... «Le rêve sioniste d'Israël. Le prisonnier du rêve est la Palestine, une terre pourtant sans peuple. Des Palestiniens sont devenus comme les juifs avant, un peuple sans terre...» Dans ce documentaire à la puissante force suggestive de la parole, le réalisateur s'attarde à démontrer la violence de l'interdit en Palestine. Durant tout son périple, il accompagnera un couple de marionnettistes dans leur aventure périlleuse afin de donner aux enfants ce fameux espoir tant clamé par Mahmoud Darwich où comment une petite marionnette représentant un grand-père tient tête à un militaire israélien quitte à mourir pour son pays. Emouvant! Le volet central du documentaire est consacré à la visite du camp des réfugiés de Dheisheh et bien d'autres images terribles de descentes israéliennes. «Dans les années 1970 nous avons subi un couvre-feu de 48 jours. Les réfugiés du Kosovo sont retournés chez eux après 6 mois. Nous, les Palestiniens, nous attendons depuis 1952!» déclarera à des ONG cet homme. La troisième partie du film est consacrée à Nidal El Khatib, le marionnettiste qui se perd au milieu des camps des réfugiés et ne reviendra chez lui qu'au bout de 18h. Une mésaventure qui fera remonter à la surface ses souvenirs douloureux d'incarcération et son procès en 1988. Le second film de Dominique Dubosc, Réminiscence d'un voyage en Palestine (2004), est le fruit d'un voyage fait par le réalisateur et le dessinateur Daniel Maja, celui-ci invité par le consulat de France à Jérusalem et le ministère palestinien de la Culture afin de relancer un projet d'écoles de dessin à Ghaza et à Ramallah. J'ai ressenti une atmosphère obscure dès mon arrivée. L'Intifada s'est éteinte, c'était à la fin de la guerre au Liban. Mon ami Daniel Maja avait déposé son dossier depuis longtemps. En 2002, ce dossier est arrivé enfin sur le bureau. Ça coïncidait avec l'invasion de la Palestine par l'occupation israélienne. C'était très tendu. L'idée était peut-être qu'il dessinait et moi je ferai des images picturales comme les impressionnistes. Pari improbable tenu. Il y a des parties dans le film où l'image est noire et renvoie à l'effacement de la mémoire, mais elle revient», a confié le réalisateur en préambule de la projection. Un film où le choix esthétique prend le dessus sur l'histoire, plutôt ils s'unissent et font corps avec la détresse humaine. Dominique Dubosc évoque tour à tour le bleu de la mer, le blanc de l'ombre, le vert des tanks et le rouge du sang. Ce documentaire est «un voyage dans la mémoire» avec toutes ses composantes sensorielles et chroniques. Tout est exacerbé, y compris le silence. Le noir et blanc est présent par interstice. Le réalisateur filme un hôpital à Jérusalem, une zone industrielle israélienne, rencontre brièvement des étudiants à Ghaza, filme des attitudes, des gestes, des visages, des corps. Tantôt figés ou en mouvement, comme des spectres, mais aussi des ruines comme témoins de la guerre et la fête d'un mariage malgré tout, l'ambiance animée, la vie, le contraste par petites touches, et puis la mort, les cadavres. Les chansons fantasques des chanteurs moyen-orientaux, qui accompagnent ces images par bribes entrecoupées, cèdent la place alors au néant. Le son est coupé. Retour à Ramallah et cet éternel calme qui précède la tempête ou succède à la fin du monde. Les fers barbelés s'érigent comme un pied de nez aux notes étincelantes du violon. «Les Palestiniens sont atteints d'une maladie incurable qui s'appelle «l'espoir» dixit Mahmoud Darwich, peut-on lire comme paraphe au générique de la fin. Se présentant comme «un spécialiste du regard», le réalisateur Dominique Dubosc expliquera sa démarche cinématographie qui consiste à prendre des images d'abord et non pas d'illustrer des idées formatées pédagogiques comme le font la plupart des documentalistes qui ne connaissent pas cette «aventure du regard». Dominique Duboscun, «homme libre» confiera avoir été viré d'Artée en étant par trois fois sur la liste noire. «Il y a aussi cette idée fausse et absurde qu'on applique à l'objectivité dans ce genre de documentaire, comme si l'on pouvait aller de tous les côtés. Or, il ny a pas d'égalité entre le colonisateur et le colonisé. Dire que le colonisateur souffre autant que le colonisé est faux.» Et de souligner sa vison des choses: «Mon but n'était pas didactique mais artistique. L'art c'est la vie et la question palestinienne est éminemment une question de vie». Et de répondre à une question d'un spectateur sur les motivations des Israéliens: «C'est clair, ce qui motive les Israéliens, Sharon l'a dit en 2001, c'est terminé la guerre de 1948: l'épuration ethnique!»
http://www.lexpressiondz.com/culture/149395-la-maladie-de-l-espoir.html
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